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27 octobre 2012

FIAC 2012 du 18 au 21/10/2012 à PARIS

4Après l’exposition Jacques Emile Blanche à la Fondation Pierre Bergé, nous nous sommes rendus à la FIAC qui se tenait au Grand Palais, puis dans les jardins des Champs Elysées et des Tuileries.

Qu’en dire ? Nous savions que les œuvres exposées ne nous correspondraient pas, mais par curiosité  pour avoir une idée de ce qui pouvait inspirer les artistes et connaître les tendances du moment, les aspiration du milieu de l’art, nous avons fait preuve de présence et surtout de constance.

Tout d’abord, l’entrée était assez onéreuse 35 euros, et si vous y ajoutiez le catalogue plus 35 euros, soit 70 euros, ou alors vous preniez le forfait avec catalogue 60 euros.  Roudoudou ayant moins de 26 ans a bénéficié d’un tarif réduit à 20 euros.                                                                   

Des œuvres du monde entier à «admirer» mais peu on trouvé grâce à nos yeux.  Eu égard aux

2objets intéressants, trop d’horreurs et d’objets hétéroclites et inintéressants.  Nous avons pu circuler tranquillement à l’intérieur du Grand Palais, les allées étant assez vides,  le prix d’entrée a du faire barrage… Le peu d’intérêt que je portais à cette exposition m’a permis d'être attentif à ceux qui se trouvaient autour de moi ; artiste exposants, galeristes, futurs mécènes et  éventuels clients, dont nous ne ferons pas partis vous vous en doutez, non seulement pour des raisons financières mais surtout de goût. (une toile blanche sans rien dessous restant une toile blanche) quant à trouver de l’esprit à un urinoir, désolé, la seule chose que cela m’inspire c’est, pardonnez-moi l’expression : d’y lever la patte.

Bref, un petit monde jouant un rôle, convenu d’avance, et difficilement supportable. L’artiste, assez ouvert (hum oui, faut vendre),  mais persuadé d’avoir «pondu la colonne» ce qui en clair veut dire : je ne supporte aucune critique négative,  tout juste interrogative, ce qui me

3permets de vous expliquer le cheminement de mon esprit ayant conduit à  l’aboutissement de mon œuvre. Le galeriste qui essaie d’attirer l’artiste qui lui semble le plus prometteur voir celui susceptible d’être sponsorisé par un mécène. Quant à l’acheteur éventuel, il suppute sur les chances qu’auront certaines œuvres de prendre de la valeur et si son investissement serait  récompensé. Tout ce petit monde parlant avec emphases,  avec force termes techniques, et suffisamment fort pour que les néophytes que nous sommes puissions en prendre plein les oreilles et soyons bouche bée d’admiration et d’envie.

A la sortie, nous avons prolongé notre visite hors les murs, dans les jardins des Champs Elysée ou avait été montés des préfabriqués tout aussi laids que ce qui y était présenté à l’intérieur. Entrée payante également : 15 euros pour chaque baraquement (hum, oui pas de petits profits). S… n’avait pas envie de poursuivre, aussi sommes-nous allés au musée des Arts Décoratifs, en passant par le jardin des Tuileries ou nous n’avons pu échapper à une suite de la FIAC, sauf que là c’était gratuit. De charmantes hôtesses donnaient aux promeneurs un catalogue répertoriant les œuvres, l’endroit ou elles étaient situées ainsi que leurs descriptions et explications. Comme les photos étaient autorisées, nous en avons fait de quelques unes des oeuvres qui nous ont un tant soit peu interpellées, et que je mets pour illustrer cet article.

En bref, la Fiac est une exposition, à mon sens, très surfaite.

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