Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
zdraztvitié
zdraztvitié
Archives
19 octobre 2014

Les Mayas - Musée du Quai Branly à Paris

 

P1050071

Exposition ayant lieu du 07 octobre 2014 au 08 février 2015 - Prix d’entrée 9 euros. Photos autorisées sans flash

L’exposition est une invitation à découvrir l’ancienne civilisation des Maya à travers leurs liens avec la nature, l’organisation de la Société et de la vie quotidienne, le calcul du temps, leurs impressionnantes cités, leurs croyances et les rites funéraires.

Les objets que nous pouvons admirer proviennent tous du Mexique, mais les Mayas n’avaient pas de frontières. On parle d’ailleurs « d’aire maya » pour définir cette aire culturelle qui s’étend sur une partie du Mexique, du Guatemala, du Belize et du Honduras et dont les populations présentent les mêmes caractéristiques artistiques, linguistiques et religieuses.

Lorsque les Mayas sont à leur apogée (époque classique, de 300 à 800) l’Europe vit en plein Moyen-Age. Les Olmèques ont déjà disparu depuis longtemps. Ils ont cependant légué aux Mayas de nombreuses inventions qu’ils vont continuer de développer, comme l’écriture et le calendrier.

Teotihuacan, au nord de Mexico, est alors une puissante cité dont l’influence, à son apogée (300-600)  s’étend partout en Mésoamérique. Des liens forts existent entre Tehtihuacan et les cités Mayas. En revanche les Aztèques n’existent pas encore, leur empire s’est développé presque un siècle avant la conquête de l’Amérique par l’Espagne au 16ème siècle.

P1050004

Les Mayas ont régné, en Amérique Centrale, pendant deux millénaires sur un territoire grand comme la France au cœur d’un océan de forêts, ils ont bâti un archipel de cités majestueuses posées sur d’immenses îlots de terre défrichée. Les Mayas étaient des guerriers, en guerre permanente  les cités mayas ne chercheront pourtant pas à s’unir pour bâtir un empire.

Bien qu’étant des guerriers, les Mayas demeurent dans l’histoire du monde comme le peuple du maïs. Dans leur mythologie, ils étaient issus  d’une pâte de cette plante malaxée  avec le sang des Deux.

 

P1040887

Chaque culture a ses critères de beauté. Pour les Mayas, la beauté passait par la modification du corps dès l’enfance. Les mères liaient la tête  de leur bébé pour l’aplatir et suspendaient un caillou au bout d’un fil entre les yeux d l’enfant pour le faire loucher, afin qu’au-dessus du nez recourbé leur profil fuyant évoque la forme d’un épi. Les hommes comme les femmes portaient les cheveux longs. A l’âge adulte, les nobles pouvaient limer leurs dents en forme de pointe ou de « T », ou les orner d’incrustations de petites perles de jade, de pyrite ou d’obsidienne. Et bien sûr la parure avait une grand importance : bijoux, coiffes de plumes…. pour les hommes aussi bien que pour les femmes.!

Les Dieux avaient soif.. De sang :

Le sang était considéré comme la source de la vie selon les mythes, les hommes ont été créés avec du maîs et du sang divin : en échange, ils devaient offrir leur propre sang pour  nourrir les divinités. Donner son sang, par petites doses, dans des cérémonies bien particulières, était une façon de participer à la bonne marche du monde, en alimentant le soleil pour qu’il puisse continuer sa course chaque jour dans le ciel et chaque nuit dans le monde souterrain.

L’autosacrifice était pratiqué par les rois, les reines, et les membres de la noblesse  qui se perçaient les parties génitales, la langue ou les joues pour offrir leur sang. Tout un chacun  pouvait en faire de même et se percer le lobe des oreilles pour recueillir quelques gouttes de sang pour les Dieux.

Pourtant si toutes les villes invoquaient les mêmes Dieux, elles ne surent jamais s’unir sous une même couronne.  L’épopée Maya est une interminable guerre civile entre cités voisines et rivales.  D’où cet autre culte rendu, lui, à la guerre qui alimentait les prêtres en prisonniers  dont le sang irriguerait les cérémonies religieuses et la terre.

P1050056

La fertilité des terres arrachées à la forêt obsédait les Mayas. Pour que la jungle ne reprenne pas ses droits, le peuple ne cessait d’évoquer les dieux du Soleil, de la Pluie, du Maïs .. Reposant sur une savante observation du mouvement des planètes, leur calendrier fixait avec précision les dates de cérémonies religieuses et des sacrifices.

P1040913

Toute la mythologie reposait sur les cycles de la nature, depuis les fleurs  d’où étaient sortis les dieux jusqu’aux grenouilles dont les coassements annonçaient la pluie et la régénération de la terre. La prospérité de tous dépendait donc de gros travaux d’irrigation, d’une science achevée  des sols et d’un respect scrupuleux des sacrifices à effectuer à date précise.

Tant par leur force de travail que par le sang à verser une offrande, les prisonniers se révélèrent  une valeur précieuse qui justifiait les guerres incessantes même entre l’an 400 et l’an 600, l’âge d’or de la civilisation Maya. Mais ces bains de sang et les exigences tellement lourde d’une l’agriculture en pleine jungle ont fragilisé le miracle maya. Qui un jour s’est dissous à son insu. Une disparition qui aujourd’hui encore reste un mystère.

La fin du monde n’aura pas lieu :

Alors que notre société occidentale envisage un début et une fin pour toute chose, pour les

P1050061

Mayas, c’est bien différent. Leur vision du monde des cyclique.  Chaque période, chaque vie se termine et renaît sous une autre forme.

Selon certaines interprétations du calendrier maya, la fin du monde était prévue pour le 21 décembre 2012.. L’unique référence écrite à ce sujet est un fragment de stèle datant du 7ème siècle environ mentionnant l’apparition des Dieux du monde souterrain à cette date.

Pour la majorité des chercheurs, cette prédiction n’indiquait ni la destruction du monde, ni même la fin du calendrier maya. Elle signalait tout simplement l’importance de la fin d’un cycle long de plus de 5 000 ans et le début d’un nouveau.

 

Nos photos sont visualisables là :

https://plus.google.com/photos/109083609870522972117/albums/6071913138395491345?authkey=CIidy47_lLy6Hg

 

Publicité
17 octobre 2014

L'aimer à en crever

73198831_p

Je n'arrive pas à dormir, je me tourne et me retourne la tête encombrée de pensées érotiques, malgré le fait que roudoudou et moi nous soyons donnés l'un à l'autre. J'ai peur, une peur irraisonnée de le perdre. Cette peur, je l'ai toujours eu avec raison, au début de nos relations alors que nous n'étions que copain, puis, au moment ou notre relation est devenue plus intime et que j'ai du lui expliquer, et à présent parce que j'ai peur de ne pouvoir lui donner ce qu'il est en droit d'attendre et peut être même d'espérer.

Avant lui, j'ai connu des mecs, des vrais de vrais, qui ne s'embarrassaient pas de sentiments, qui ne vivaient que pour eux et n'avaient que des pulsions qu'ils satisfaisaient sans s'occuper des dégâts qu'ils pouvaient causer. A leur défense je n'offrais pas grand chose d'autre que mon corps à leur appétit, et de fait ne peut sans doute m'en prendre qu'à moi même.

Avec S... J'ai eu peur d'être rejeté en abandonnant le masque de la superficialité, aussi ais-je appris à communiquer d'une autre façon. J'ai appris à faire confiance, à aimer, à désirer plus que du sexe rapide, à avoir de la patience, à lui faire l'amour en respectant ses réticences, ses craintes toutes les étapes qu'il m'imposait avant de céder, à me surpasser en délicatesse pour le voir enfin s'abandonner.

Oui, tous ces moments rien qu'à nous, sont gravés dans ma mémoire. Il me plaît de  me les remémorer lorsque je suis triste et/ou inquiet. Son premier soupir, ses premiers gémissements et son premier cri, oh pas bien grand, mais suffisamment fort pour que je l'entende et qu'il en rougisse. Toutes ces petites choses qui font l'intimité de notre couple. Je ne me lasse pas de le regarder, de le voir grandir (façon de parler). Je l'ai rencontré il avait à peine 20 ans, mais en paraissait 15 tellement il était menu et timide. Il en a à présent 27 et son physique s'est affirmé. Son visage est plus marqué, les yeux sont toujours aussi grands mais moins étonnés, même si le regard reste innocent. La musculature plus marquée et le poil encore plus fourni.

Ce que j'adore chez lui : tout ce que j'ai énuméré ci-dessus, et que j'ose dire ci-après. Son petit cul haut planté, ferme, et rond (sauf quand il maigrit ou là il s'affiche des fossettes). Son sexe, qu'il soit au repos ou se dresse arrogant sous ma langue et mes caresses, son léger ronflement lorsqu'il est très fatigué, son odeur et ses "ronronnements" de matou satisfait après l'amour." C'est tout cela que j'ai peur de perdre ...

zdraztvitié
Publicité
TRADUCTEUR
Newsletter
2 abonnés
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 266 901
Publicité