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20 février 2016

PERSONNA - Etrangement humain - Musée du Quai Branly à Paris

 

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Exposition se tenant du 26/01 au 13/11/2016 au Musée du Quai Branly 

« La culture occidentale est la seule à avoir dressé un tel rempart entre l’homme et la matière inanimée ». 

Dans de nombreuses cultures, les objets ont souvent un statut plus proche de celui d’une personne. » Or ces « objets vivants », les collections du musée du quai Branly en regorgent. A travers 230 œuvres, statuettes, automates, momies, marionnettes, robots low-tech ou high-tech et autres créatures étrangement humaines, l’exposition explore les relations que les peuples tissent depuis toujours avec les objets qui les entourent. Afin d’éclairer d’un jour nouveau nos rapports avec les créatures artificielles qui envahiront bientôt notre quotidien. 

Des objets plus « habités » qu’on ne le croit 

L’anthromorphisme, c’est-à-dire l’attribution de traits propres à l’être humain à des choses ou des êtres qui ne le sont pas, est une tendance profondément ancrée dans la nature humaine. Il s’exerce sur des objets, des animaux, des entités de la nature (minéraux, végétaux), des amas d’étoiles ou même des êtres surnaturels. Qui n’a jamais suspecté ne serait-ce qu’un instant, le grincement d’une porte ou l’ombre qui glisse sur le mur d’être l’œuvre d’un « esprit » ? 

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Selon les cultures, ces entités qui échappent à notre regard portent le nom de poltergeist, d’âmes ou de divinités. Mais partout elles ont suscité le même besoin : celui de créer des objets au travers desquels ces « non humains » puissent se manifester.  

En matière de chasse aux esprits, le monde occidental n’est pas en reste. Le XIXème siècle a vue fleurir en Europe toute une panoplies d’objets divinatoires  : du détecteur d’aura à la main divinatoire, de la planche spirite montée sur roulettes au phonographes, cette « machine pour parler au morts » sur lequel Thomas Edison, pionnier de l’électricité travailla durant les dix dernières années de sa vie. 

Reste à savoir quel genre de rapport l’homme peut entretenir avec ces créatures « habitées », fascination, affinité, répulsion ? Selon le roboticien japonais Masahiro Mori, plus une créature artificielle revêt forme humaine, plus elle a de chances de susciter de l’intérêt, de l’empathie. Mais, au-delà d’un certain degré de ressemblance, il crée l’effet inverse : malaise et rejet. Autrement dit, en s’évertuant à fabriquer des créatures de plus en plus réalistes, les roboticiens alimentent notre robophobie.  

Mon avis : Volodia 

Exposition intéressante et surprenante, dans la zone baptisée « vallée de l’étrange » nous se situe toutes les créatures un peu trop humaines, représentées par des créatures anthropomorphes des quatre coins du monde.  

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Un long couloir est peuplé de créatures improbables : sirène des Fidji, momie amérindienne, automate, marionnettes Bunraku, buste en cire, poupée de compagnie japonaise, etc… Un laboratoire d’anthropologie grandeur nature pour comprendre ce qui nous lie ou au contraire nous révulse chez des créatures non humaines.  

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En fin d’exposition, nous visitons une maison témoin, sorte de terrain d’expérimentation où le visiteur teste ses propres réactions face aux créatures artificielles qui pourraient un jour envahir notre quotidien : robots domestiques dans la cuisine, interfaces de communications à visage humain dans le salon, animaux de compagnie artificiels et robots érotiques dans la chambre. Certaines existent déjà, d’autres arriveront bientôt, mais toutes proposent  une nouvelle façon d’interagir avec des êtres non humains : communiquer, s’attacher, augmenter ses capacités… 

Une interrogation subsiste : Un robot doit-il nous ressembler pour nous plaire ? Peut-on vraiment s’y attacher ? Et surtout, à l’heure où les robots s’apprêtent à entrer dans nos maisons, quelles créatures sommes-nous vraiment prêts à accueillir chez nous ?  

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16 février 2016

Ce matin là ! oui justement celui-là !

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Ou les mésaventures de S... Chose habituelle et tout à fait quelconque, mon chéri a voulu stopper le réveil qui de façon stridente se rappelait à nous dès 5 h 30 ce matin. Mal réveillé, mon petit S. a étendu le bras et ce faisant, non seulement n'a pas réussi à  stopper la sonnerie, mais a fait tomber une partie de la pile de livres se trouvant en dessous. Voulant ramasser ce qu'il avait fait tomber, il s'est assis sur notre lit mais par un faux mouvement a réussi le pari de faire s'écrouler non seulement le restant de la pile mais à se cogner la tête en se relevant. Ce qui a eu pour effet de le réveiller complètement, ce qui de toute façon n'aurait su tarder, l'estomac de sa minette et sa vessie (de mon chéri) étant réglés comme du papier à musique.

Les yeux gonflés de sommeil et l'esprit encore embrumé par notre intense et courte nuit, voilà mon S... qui se lève. Ne pouvant attraper sa robe de chambre, une partie se trouvant sous le postérieur de sa minette et Môssieur ne voulant pas la déranger, tant mieux pour moi et surtout pour mes yeux, le voilà debout en caleçon (ben, oui il ne supporte pas des pyjamas à jambes longues) affichant une magnifique érection dont j'ai profité jusqu'à ce qu'il s'en aperçoive et finisse par déloger la minette de sa robe de chambre. Pudeur oblige et pourtant, quoi de normal et de plus beau à regarder. J'ai préparé le café pour nous deux et ai  mis de la nourriture dans l'assiette de Shivanna..

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Une fois leurs impératifs de premières nécessités satistaits, la première qui est repartie dans la chambre, pour digérer, avec un air de princesse à qui tout est dû, fût bien évidemment Shivanna. Pour un peu, il m'aurait fallu batailler pour que mon petit  S...récupère sa place, restée chaude, dans le lit que sa minette avait squatté sans vergogne et qui ne semblait pas disposer à se pousser un peu plus loin, Chipie !

J'ai invité mon amour à se recoucher, il était trop tôt pour lui, non sans avoir d'autorité poussé sa minette et avoir caressé mon chéri sur ce qui n'avait pas disparu, malgré le pipi du matin, et qui ne demandait qu'à être ranimé pour notre plaisir.

A présent, mes deux chéris repus de nourriture et d'amour se sont rendormis du sommeil du juste, Shivanna sur l'oreiller à côté du sien et mon chéri, les fesses à l'air ce qui est un évênement dont j'aurais bien aimé profiter à loisir, mais bon, le travail c'est le travail. 

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