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zdraztvitié

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17 février 2020

Lucas Giordano ou le Triomphe de la peinture Napolitaire

Cette exposition se tient du 14/11/2019 au 23/02/2020. Prix d'entrée 13 euros, Photos autorisées sans flash.

Lucas Giordano

Luca Giordano, né à Naples 18/10/1634 – 03/01/1705 est un peintre italien Baroque de l’Ecole Napolitaine. Son père Antonio, lui-même artiste, lui enseigne les premiers rudiments du métier. Dès l'âge de huit ans, Luca réussit à peindre un chérubin sur l'un des dessins de son père. Cet exploit incite le vice-roi de Naples à placer l'enfant en apprentissage auprès de José de Ribera.

Lors d'un voyage à Rome 1652, il dessine les chefs-d'œuvre de Michel Ange, Raphaël, des Carrache et du Caravage. A Parme, il recopie les œuvres du Corrège et de Véronèse.

De 1653 à 1667, il complète sa formation à Venise où il obtient ses premières grandes commandes. Pour la basilique San Pietro di Castello, il exécute le retable à la Vierge à l'Enfant avec les âmes du Purgatoire. Il produit aussi pour l'église Santa Marie del Pianto.

Après avoir travaillé dans la plupart des grands centres artistiques italiens, il se forge un style personnel qui combine, pour ainsi dire, la pompe ornementale de Véronèse et les grandes compositions de Pierre de Cortone

À la fin des années 1670, il peint à Naples plusieurs ensembles des fresques à l’Abbaye du Mont Cassin, dans la coupole de l’église napolitaire Santa Brigida, puis à l'Eglise San Grégorio Armeno. De nouveau à Florence au début des années 1680, il travaille à l’église Santa Maria del Carmine, à la bibliothèque et au Palais Medici Riccardi.  

De 1672-1674, il séjourne une troisième fois à Venise.

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Vers 1687, Charles II d’Espagne l'invite à Madrid, où il reste au moins toute la décennie 1692-1702 pour orner de fresques le Monastère de l’Escurial,  les palais royaux du Buen Retiro à Madrid et d’Aranguez à Tolède  qui conservent une partie de ses œuvres. Il est apprécié de la cour espagnole. Le roi lui concède le titre de Chevalier.

De retour à Naples vers 1702, il continue de travailler avec la même fièvre créatrice. De 1703 jusqu'à sa mort, il peint le plafond de la Salle du Trésor à la Chartreuse San Martino.

Toujours plus nombreuses, les commissions le conduisent à exploiter un atelier de production où divers collaborateurs développent « en grand » ou complètent projets et ébauches que le maître se contente souvent d'achever d'un simple coup de pinceau.

Mort début 1705, il est inhumé en l'église Sainte Brigitte de Naples.

Comptant plus de cinq mille oeuvres, fresques ou tableaux, la production de Luca Giordano (1634-1705) est immense. Virtuose du pinceau, sa capacité d’adaptation lui valut des commandes prestigieuses, tant à Naples qu’à Florence, mais aussi en Espagne, où il séjourna dix années à la cour de Charles II. Son oeuvre est abondamment présente dans les musées français – que ce soit au Louvre, à Ajaccio, Amiens, Brest, Chambéry, ou encore Rouen –, un pays où il exerça une profonde influence sur les peintres du XVIIIe siècle. Cette monographie, premier ouvrage en français sur l’artiste, dessine le portrait d’un homme exceptionnel, indifférent aux codes et aux règles, doué pour les affaires, et essentiel pour comprendre le paysage artistique du XVIIe siècle européen.

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Peintre virtuose et infatigable, surnommé, de son vivant, "Luca Fa Presto",. Artiste curieux, en constante métamorphose, il a su réaliser une synthèse séduisante entre la tradition napolitaine, la couleur vénitienne et les grands programmes du baroque.

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Mon avis : ChezVolodia

L'époque étant particulièrement mystique et soumise à l'église romaine, cela se ressent dans toutes les oeuvres  des artistes quels qu'ils soient. La grande majorité des toiles peintes par Giordano sont des scènes religieuses (mère à l'enfant, ange chassant les rebelles du paradis, saint s'élevant au-dessus des passions humaines, martyrs, et piéta). Ce dont je ne raffole pas.

Toutefois, comme nombre d'entre-eux, il a réservé une assez large place au Baroque, qui je dois l'avouer m'a et de loin beaucoup plus séduit. La légèreté sujets (nymphes avec des faunes),

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au rappel à la mythologie grecque (avec Hercule et les juments de Diomède) ainsi que les allégories (de la tempérance, de la justice) ont remporté mon enthousiasme tant par les sujets évoqués, que par leur délicatesse (scène, douceur, couleurs employées)

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*Comme à l'accoutumée, cette exposition est parfaitement mise en scène par le Musée du Petit Palais et l'on peut passer des heures à admirer et scruter chaque détail des oeuvres présentées.

Les photos prises lors de cette exposition figurent dans la rubrique Album du blog

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13 février 2020

Les Contes étranges de Niels Hansen Jacobsen - Un Danois à Paris (1892-1902)

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Cette exposition se tient  depuis le 29/01 et jusqu'au 31/05/2010 au Musée Bourdelle à Paris. Prix d'entrée 9euros. Photos autorisées sans flash. Le prix d'entrée comprend également l'accès aux expositions permanentes du Musée.

C'est une première exposition en France consacrée à Niels Hansen né en 1861 et décédé en 1941, qui invite à un plongée onirique dans l'univers du sculpteur et céramiste danois, contemporain d'Antoine Bourdelle (1861-1929). Son oeuvre est fortement marquée par un goût pour l'étrange, l'ambigüe, voire le macabre - une "inquiétante étrangeté", pour reprendre la formule de Sigmund Freud. Ses culptures renouent avec la mythologie nordique et les légendes scandinaves, avec l'oralité du folklore et le fantastique des contes d'Andersen.

Neils Hansen Jacobsen, fils d'agriculteur, nait à Vejen et se forme à l'Académie Royales des Beaux-Arts de Copenhague dans la tradition du sculpteur néoclassique Berthel Thorvaldsen. Une bourse de voyage distingue son talent et le mène de l'Allemagne à l'Italie, puis à Paris, la capitale des arts, où il s'installe en 1892 pour 10 ans.

De montmartre à Montparnasse, on voit surgir de terrre des cités d'artistes. Au 65 boulevard Arago un entrepreneur avisé dispose des pavilons, reliques de l'Exposition Universelle de 1878 autour d'un jardin ; c'est dans cette espèce de couvent artistique aujourd'hui la citée fleurie que Jacobsen et son épouse la peintre Anna Gabriele Rohde s'établissent. Ils y rejoignent une communauté de sculpteurs nordiquet et nord-américains.

Ses oeuvres :

La Petite Sirène : La fille des mers de l'écrivain Christian Andersen, appartient à ces figures de nymphes qui ne cessent de refaire surface. Des rêveries du romantisme aux mystères du symbolisme aux volutes de l'Art Nouveau. La transposition en ronde brosse que Niels Hansen Jacobsen donne de la Petite Sirène inscrit le corps serpentin de l'ondine dans une dynamique équivoque. 

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Le Troll qui flaire la chair de chrétiens : s'inspire d'une figure du folklore scandinave. Une queue, des cornes, des serres en forme de pince à trois doigts, déni diabolique de la trinité du christianisme ? La logique formelle du Troll, issu de la forêt des origines, naît d'un riche humus de références vernaculaires et plastiques.

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Masques et Méduse : affronter la Gorgone : Parce qu'il résume l'être à sa simple face, le masque est une forme largement plébiscitée par les artistes de la fin du XIXème siècle en quête d'expressions synthétiques et de symboles puissants. A ce titre, le Japon et ses masques du Théâtre No furent un réservoir majeur pour cette mode et ses variations.

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La part de l'ombre : Insaisissable par nature, l'ombre est une figue de l'incertitude voire de la mort. Elle est aussi signature du réel, car seul un corps tangible projette une ombre. Chez les symbolistes, l'ombre agit comme révélateur de l'irrationnel. Son royaume est celui des bêtes hybrides et nocturnes qui hantent les céramiques de Jacobsen.

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La Mort et la Mère: Du mouvement giratoire de la mort à la fluidité de la robe et des cheveux flottants, le féminin ouvre un espace ondulatoire où l'on peut sombrer.

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Mon avis : ChezVolodia

Nous avons beaucoup apprécié cette superbe exposition sur un artiste culpteur que nous ne connaissions pas et qui a mis son talent à donner une image à des êtres, des sensations  irrationnels (les), peuplant pour certains (es) nos pires cauchemars, mais qui bien que dérangeantes sont magnifiques. 

Les sculptures de Niels Hansen Jacobsen donnent une présence charnelle à l'épaisseur du temps, aux Mythes fondateurs, aux contes d'Andersen, à l'oralité immémoriale du folklore nordique affranchis des canons de l'académie comme des conventions du réalisme. Ces figures fabuleuses conjuguent dans leur inquiétante étrangeté la poésie du symbolisme et les prospections formelles de l'Art Nouveau.

D'autres photos de cette exposition sont visibles dans la partie album du blog.

6 février 2020

Shema Yisroel - Shulem Lemmer

5 février 2020

Well heeled dancers Yanis Marshall, Arnaud And Medhi

Mignonnes les cocottes !

5 février 2020

Gay men's Chorus Los Angelès

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5 février 2020

Pédophilie dans la communauté Hassidique - Nous ne sommes pas meilleurs que le goï

5 février 2020

עם סבבה ושירה

2 février 2020

Salon 3 f Paris du 31 janvier au 02 février 2020

 

Salon 3 f paris

Comme tous les ans, nous avons reçu une invitation pour ce salon, qui se tient au Parc des Expositions à Paris et qui regroupe des artistes peintres (essentiellement), des plasticiens, des sculpteurs sur bronze ou autres et photographes. Si vous n'avez pas d'invitation, il vous en coûtera : 10 euros.

Inutile de vous dire que nous nous y rendons tous les ans et nous revoyons année après années les mêmes artistes plus quelques petits nouveaux. Il y a toutes les techniques de peinture représentée. Huile, Acrylique (en majorité), Peintures acryliques industrielles (c'est une nouveauté, avec une seule exposante). Ainsi que pour les culptures, un artiste créant des objets, principalement des lampes avec divers matériaux récupérés et détournés.

Comme dans chaque exposition, il y a des choses très belles et d'autres un peu moins (pour ne pas dire laides, mais l'art est subjectif tout comme la beauté). Nous avons été interpellés par les créations de :

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Chrislen-art

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 Oublié  de prendre la carte de visite

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L.Gédon

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Michele Ferrari

Laetitia vernieux

Laetitia Vernieux a pour particularité de dessiner au stylo bille.

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Un artiste italien dont nous ne savons pas le nom ni pu avoir de carte, celui-ci étant occupé avec un client potentiel, nous n'avons pas voulu le déranger.

Bien évidemment, toutes ces oeuvres magnifiques ont un prix, qui va de 2000 € environ à 4500 euros pour l'artiste italien, nous n'avons pas connaissance du prix car non marqué et pas disponible puisque occupé avec un client.

Nous avons regardé, mais n'avons rien acheté pour l'instant. Les prix étant conséquents pour nos bourses.

17 janvier 2020

L'étoffe des rêves de Lee Young - Musée Guimet

 

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Cette exposition se tient du 04/12/2019 au 09/03/2020

Consacrée par son pays comme la plus frande figure de la mode coréenne, Lee Young-hee (1936-2018) a propulsé sur la scène internationale l'image d'une Corée moderne et décomplexée, fière de son illustre passé. Puisant son inspiration et sa philosophie dans le "hanbok", le vêtement traditionnel des femmes coréennes, son art s'épanouit dans une modernité sans cesse renouvelée, passant de la parfaite maîtrise des formes traditionnelles aux figures aériennes d'un" hanbok" libéré.

Lee Young-hee entame  une carrière de couturière-styliste presque par hasard. Le vêtement coréen va rapidement devenir une passion qu'elle approfondit par des recherches historiques menées avec Seok Ju-seon, spécialiste reconnue de l'histoire du costume. Ensemble, elles s'attèlent à une minutieuse reconstitution de vêtements d'après les peintures des rouleaux dépeignant les cérémonies de cour de la fin de la période Choson (1934-1910). Les costumes des officiels et les costumes de cour de cette époque sont d'une extrême rareté.

 

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Lee Youg-hee met en place un processus de "recréation" de ces pièces qui inclut la fabrication des soieries à l'identique, l'emploi de teinture naturelle, la couture et la broderie à la main ; son travail s'alimente également de la collection de ces précieuses pièces Choson - vêtements ou accessoires - qu'elle rassemble peu à peu tout au long de sa carrière. Elle explore tous les matériaux traditionnels (ramie, soie) tout en expérimentant des mélanges nouveaux (fibre de banaier et soie), jouant tour à tour sur des effets de transparences et de matières rugueuses, faisant de la combinaison traditionnelle (une roble ample s'élargissant ous la poitrine et un très court boléro noué de rubans) un vocabulaire versatile, librement et constamment réinventé.

Mon avis : ChezVolodia

Cette exposition présente également des costumes confectionnés avec  une base de hanbok mais résolument moderne. N'étant pas intéressé par cette nouvelle interprétation du costume traditionnel, je n'ai pas eu l'envie de prendre des photos faute de coup de coeur. Aussi me suis-je intéressé  spécifiquement à l'histoire dudit costume, dont je vous mets le lien ci-dessous :

https://www.koreancoffeebreak.com/costume-traditionnel-coreen-hanbok

Ceci dit, cette exposition est superbement mise en scène par le Musée Guimet et permet d'apprécier la simplicité des formes et la somptuosité des matières utilisées qui donnent à la femme coréenne grâce, élégance et délicatesse. Tous les éléments présentés y concours que ce soit le costume en lui-même, que par les accessoires qui le compose tels : le volume des robes, les rubans et bijoux fermant les boléro, les parures de cheveux, etc... 

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Le costume coréen par ses lignes et ses formes permet aux femmes d'afficher leur féminité tout ayant une apparence, modeste et chaste, conformément aux valeurs du Confusianisme. Quant aux hommes, il est important d'afficher son honnorabilité, aussi est il de bon ton de veiller à porter une tenue et un chapeau approprié à son rang.

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Le costume masculin étant lui, constitué d'un veste longue attaché à la taille et un pantalon ample. A noter que parfois, les femmes portaient elles aussi le pantalon sous leurs jupes.

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Les couleurs portées par les uns et les autres sont conditionnés au statuts social et marital. Vidéo de l'exposition faite avec nos photos personnelles, ci-dessous : 

8 janvier 2020

Le Tower Bridge - Londres

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Comme convenu lors de mon précédent post, je vous avais parlé de notre visite à Londres le 15/10/2019 et de notre visite du Tower Bridge. Pour commencer, un petit morceau d'histoire.

A la fin du XIX siècle. La Tamise demeurait l'artère vitale de Londres et ce, depuis le développement de la ville. De l'époque romaine au Moyen Age, le pont occupa un quartier appelé Pool of London, s'étendant entre London Bridge et la Tour de Londres. Le premier London Bridge en maçonnerie, construit au XIIème siècle était couvert d'habitations. Plus tard, on y exposa les têtes des traîtes sur des pieux. Ce pont dura près de 600ans et empêchait les navires de mer qui remontaient la Tamise d'accéder à l'Ouest du pays.

Avec l'expansion de Londres au XVIIIème siècle, on inventa de nouveaux moyens pour traverser la Tamise à l'Ouest de la Ville. Le Poof of London se développa à l'est de London Bridge, en même temps que l'expansion maritime et commerciale de l'empire britannique. Le chargement et le déchargement des navires, effectués jusqu'ici aux abords des quais furent dès lors facilités par la construction de docks et d'entrepôts.

En 1870, un million de gens vivaient à l'est de London Bridge, seul moyen pour eux de franchir la Tamige. Chaque jour, 128 000 piétons et 20 500 véhicules empruntaient le pont, et il fallait parfois attendre des heures pour traverser. En revcanche, les 2,3 millions d'habitants résidant à l'ouest de London Bridge avaient 12 ponts à leur disposition pour passer d'une rive à l'autre.

La traversée pourvait se faire par wherries, petites embarcations à rames menées par les bateliers de la Tamise. L'importance du service de transport qu'ils offraient à l'époque peut se comparer aujourd'hui avec celle des black cabs, les célèbres taxis londoniens.

En 1843 un ouvrage de franchissement plus moderne et moins humide vit le jour avec l'ouverture du premier tunnel sous la Tamise entre Wapping et Rotherhithe. Construit par Marc Brunel et son fils Isambard Kingdon Brunel, il était considéré comme une véritable prouesse technologique. La nécessité d'un nouvel ouvrage de franchissement demeurait impérative. En 1872 une proposition de loi réclamant la construction dans l'est de Londres d'un nouveau Tower Bridge fut déposée au parlement. L'accord quant à sa conception et l'approbation du parlement ne furent obtenus qu'en 1885.Le projet de conception de Tower Bridge fut choisit à l'issue d'un concours comme ce fut le cas pour bon nombre des autres ponts sur la Tamise.

Comme tout ce qui est nouveau, le nouveau pont qualifié d'abberations eu ses détracteurs :

. En premier lieu, les bateliers de Londres, qui gagnaient leur vie en assurant ka traversées entre les deux rives de la Tamise. Idem en ce qui concerne les propriétaires de quais qui craignaient qu'il ne nuise à leur commerce.

. La reine Victoria elle-même était très contrariée  par l'idée qu'un pont soit construit près de la Tour de Londres qui abritait un arsenal et une prison célèbre depuis l'époque normande. Jusqu'en 1810, elle avait aussi abrité la Royal Mint (monnaie royale) où était frappée les pièces de monnaie du royaume.

Le projet retenu fut celui de Sir Horace Hones et Wolfe Barry consistant en un pont basculant avec deux tours néo-gothiques et des passerelles au niveau supérieur et fut officiellement adopté par le Tower Bridge Act, voté en 1885.

Ce que nous ne savions pas, c'est qu'il se visitait. Donc nous avons été agréablement surpris et pas question de manquer une telle opportunité. C'est d'un pas ferme et décidé que nous avons cherché l'entrée une fois trouvée (ce qui ne fut pas une mince affaire, le pont était immense et l'entrée par forcément bien indiquée) nous avons pu accéder pour une somme relativement modique aux différents étages qui le compose :

- Au 1er palier, grande salle regroupant des photos et des vidéos sur l'histoire de Tower Bridge et ses constructeurs.

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- Au 3ème palier, la passerelle avec plancher en verre, donnant vue sur la tamise, les docks et autres vues de Londres.

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- Au rez de Chaussée, sauf erreur, différents objets ayant appartenu au commandant du pont.

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Le second étage et la salle des machines victoriennes n'étient pas accessibles lorsque nous y sommes allés, mais cette dernière peut également se visiter.

Quelques chiffres : le pont a une longueur de 268 mètres, pour une hauteur de 43,5mètres lorsque le pont est ouvert (pour les passerelles à marée haute), 8,99 mètres de hauteur lorsque le pont est fermé, et 530 kilos pour chaque dalle de verre de la passerelle. Il est ouvert environ 1 000 fois par an.

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