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zdraztvitié

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21 avril 2010

21 avril 2010

Cette date figure en gros et en bonne place dans mes agendas et est entourée de rouge sur mes calendriers. C'est l'anniversaire de mon amour. 23 ans aujourd'hui et l'âge officiel pour se marier en Inde. Mais il n'aura guère perdu de temps puisque ce sera chose faite Samedi prochain...

En attendant, et malgré que ce soit le jour son anniversaire, il est de représentation. En ce moment, sur scène, Il saute, virevolte et tape des talons devant un public qui me le ravit le temps d'une soirée et d'une partie de la nuit puisqu'il ne rentrera pas avant au plus tôt minuit, voire, minuit et demi - complètement épuisé - en ne souhaitant qu'une chose dormir. Nous n'avons pas vraiment le choix, tant qu'il a des contrats et la santé pour les honorer, il fait ! En attendant son retour, je vais tout de même faire monter un repas sympa de "chez Pouchkine" quitte à le mettre au frigo, s'il ne veut pas souper. J'ai glissé son cadeau sous l'oreiller, mais va-t-il s'en apercevoir ? De plus, je me suis laissé tenté par un nouveau bain moussant, accompagné de sels délicatement parfumés, dont le mérite est de soit-disant dé-stresser, de rendre la peau aussi douce qu'un bébé et votre cher (chère) et tendre amoureux. Hum, je demande à voir (si ce n'est pas vrai, je fonce au magasin pour faire un esclandre). Enfin il fait beaucoup de mousse et tous les deux, nous adorons la mousse !

Mais il reste qu'en ce jour si particulier, je me sens un peu esseulé....

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11 avril 2010

Martin, la suite !

Je l'avais complètement oublié celui-là mais pas lui, oh que non. Il m'avait promis de revenir et de m'amener des clients (et oui !) il a tenu parole. (Que n'aurais-je donné pour qu'il m'oublie !). Donc, Vendredi alors que j'étais plongé dans le déballage de mes commandes, rebelote : A...? tu es là ? (ben oui sinon la boutique serait fermée, ça c'est encore du La Palice) bonjour, comme prévu je t'amène un nouveau client et tu sais, j'ai fais de la pub sur internet pour ton magasin (non mais de quoi je me mêle) tu es content ? (tu parles, si j'avais voulu une clientèle de masse et/ou de passage, je l'aurais fait il y a longtemps...) d'ici peu tu ne sauras plus où donner de la tête (en attendant, c'est lui qui me l'a fait perdre !). D'autant que S... doit venir cet après-midi (pas question mon coco qu'il te trouve là).

Le souci c'est que Martin est non seulement exubérant, volubile, mais également collant pour ne pas dire gluant. Pour s'en débarrasser il faut se lever de bonne heure, s'armer d'une bonne dose de courage et surtout, surtout ne pas hésiter. Ce qui n'est pas mon cas, compte tenu de sa gentillesse. Résultat, j'ai salué comme il convenait la "connaissance" avec qui il était. Celle-ci m'a tendu non comme Martin, une main alanguie, mais une main molle, au point qu'on aurait dit de la guimauve. Martin m'a embrassé, toujours aux coins des lèvres comme à son habitude (heureusement que S... n'était pas là !), et j'ai serré la main le plus fermement possible de la "connaissance". Heureusement, qu'à cette heure, il y avait peu de monde dans le magasin. J'ai prétexté devoir finir de déballer mes arrivages espérant les voir quitter les lieux. Et non, Martin toujours lui a proposé de m'aider ou s'il ne pouvait le faire de m'attendre pour prendre un café et "papoter", à une de mes petites tables. Pendant que la "connaissance", elle, ferait le tour du propriétaire pour trouver de quoi meubler sa bibliothèque (ferait mieux d'acheter des reliures au mètre, ça lui reviendrait moins cher). Bref. Ils squattaient pour un moment...

Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, j'ai décidé moi aussi de m'installer, pour souffler un peu, et donc tenir le bavoir pendant que ces messieurs/dames me mettaient au courant des derniers potins. J'écoutais d'un air distrait quand, catastrophe, S... est arrivé (plus tôt que prévu). Branle-bas de combat, je n'avais aucune intention de le présenter à la "connaissance" Mais Martin, toujours à l'affût, l'avait vu entrer et se levait déjà pour le saluer d'un : ..."Petit cachottier, tu ne m'avais pas dit que tu étais l'ami d'A..."... (et pourquoi l'aurait-il fait ? hmmm). Cette remarque bien entendue faite devant la "connaissance" grrr. (merci pour ta discrétion, Martin). S... pris au dépourvu ne savait comment se tirer de ce mauvais pas et me jetait des regards implorants. Martin imperturbable nous dit toujours devant la "connaissance" ça fait un moment que vous êtes ensemble non ?, et d'un air coquin, "A quand le mariage" ? Et là, mon S... qui ne comprends pas l'ironie répond : le 24 avril. Le pavé dans la mare, la cerise sur le gâteau, si si, ça c'est mon chéri. Un grand silence de stupéfaction suivi d'un grand blanc ou là, S... a réalisé ce qu'il venait de dire, et ou Martin et sa "connaissance" sont restés muets la bouche entrouverte (le gag quoi) avant de nous féliciter chaleureusement.

Vinrent ensuite les questions, "vous vous mariez où" ? "Dans quel pays" ? "j'espère que je serais invité" ? (Martin),. "Vous nous ferez voir les photos" (la "connaissance"), (ben voyons !).  Ah, selon les rites hindous ? "Ah, il n'y a pas d'interdiction "? "Ah et comment ta mère prend ça A.. "? (très bien, elle adore S...) et "tu nous donneras l'adresse hein" ? "on viendra vous faire un petit coucou en vous apportant des fleurs" (surtout pas !) "Quand les copains vont savoir ça" (tu parles !).Et pourquoi vous ne vous pacsez pas ? "Ah bon" ? et encore, "Ah bon." (dur d'oreilles peut être ?). Bref j'étais excédé quant à S... il avait le nez dans sa tasse de café et n'osait plus le relever. Sa gaffe prenait des proportions gigantesques....

Pour finir, après avoir choisi quelques volumes ils s'en sont allés raconter la nouvelle à qui voulait l'entendre, mais bon tant pis, après tout ce n'est pas un secret qu'il nous faut à tout pris défendre... Nous qui souhaitions de la discrétion. A mon avis, c'est pas gagné.

9 avril 2010

Za vashe Zdorovie - Lechaïm

а нос амис (иес) ет релатионс ́уе ноус инвитонс à партагер отре йоие. Не ноус югез пас, аццептез-ноус цомме воус льавез фаит юс́уьà прёсент. Ноус соммес ун оцупле цомме йе соушиате à чауцун де ле формер. Ноус ньавонс пас чангер. Цьест тоуйоурс ноус, авец нос ́уалитёс ет нос дёфаутс....

אַ נאָס אַמיס עתּ רעלאַתּיאָנס אַשׂעפּתּעז נאָוס שאָםע בֿאָוס ל'אַבֿעז פֿאַיתּ דשוסקו'אַ פּרעסענתּ, סאַנס נאָוס דשוגער. נאָוס נ'אַבֿאָנס פּאַס שהאַנגער נאָוס סאָםעס תּעלס קוע נאָוס בֿאָוס אַבֿעז שאָןוס אַבֿעש נאָס קואַליתּע עתּ נאָס דעפֿאַותּס. נאָוס עספּעראָנס קוע בֿאָוס נאָוס אַגערעז בֿאָתּרע אַמיתּיע שאַר עללע נאָו עסתּ שהערע

9 avril 2010

Наша свадьба

Чтобы мои друзья (страны) вне зависимости от вашей религии, ваш возраст, вашу культуру, поделиться с нами радость, что охватывает нас в канун нашего брака. Не судите нас, мы всегда те, с которыми вы познакомились или любимого, с нашей качества и свои недостатки.

Хотя это видео не точно отражает радость брака из-за напряженности между еврейской и православной общин. Я хотел отправить его в связи с дефисом, которую я представляю между этими двумя культурами.

 

5 avril 2010

Lundi de pâque

Nous nous sommes réveillés dans les bras l'un de l'autre et en forme pour une longue promenade. Direction Montparnasse en premier lieu, puis le luxembourg, Le Marais. Nous n'avions aucun but précis sinon nous balader au soleil, le nez au vent et la main dans la main. Hum oui nous aussi ça nous arrive et de plus en plus fréquemment. Aujourd'hui c'est mon amour qui me l'a pris tout naturellement, inutile de dire que je n'attendais que ça pour affirmer notre couple aux yeux de tous. Car sans aucun doute, nous formons un couple et ça se voit même pour des néophytes. Le plus drôle, si je puis dire, c'est que S....assume. Il semble vouloir exhiber notre amour au monde entier, je ne le reconnais plus. Depuis que j'ai accepté de l'épouser, il est comme soulagé, libéré d'un poids qui devenait tous les jours un peu plus difficile à porter.

De même pour moi, qui avait une sainte horreur du Marais, en raison des souvenirs qu'il me renvoyait, je parle ici de carpe farcie, d'ashkenazim empêtrés entre modernité et bondieuserie, etc...je me suis réconcilié avec. Mon amour ayant envie d'une douceur je l'ai emmené prendre une collation dans une patisserie polonaise. Un évênement, car en principe, il n'a pas le "bec sucré". En marchant j'en ai profité pour regarder un peu plus attentivement le monde et la faune qui nous entourait. Car oui, il y a une certaine faune il faut bien l'avouer. Outre les familles juives, les badauds des dimanche et jour de fêtes, les touristes, les couple gays ordinaires dont nous faisons partie. Il y a toute une flopée de petits jeunes et moins jeunes du reste qui s'amusent à "jouer les folles", à parler d'une voix de fausset, à, comme dirait mon chéri, "balancer du derrière", ce que moi je qualifie de "tortiller du croupion". Regardant tous les hommes gays et seuls d'un air qui blasé ou carrément d'invite. Ou, lorsqu'ils sont à deux ou en groupe dévisageant les couples d'un air qui se veut arrogant ou complice, mais de quoi ? Certainement pas de leur cervelle de petits pois, ni de leur façon de faire !

J'ai de la chance de ne pas être tombé sur de tels greluches. La jeunesse n'excuse pas tout. A 19 ou 20 ans ? ils n'ont aucune maturité et je ne peux manquer de faire de comparaison avec mon compagnon. Nous nous sommes arrêtés au Cox, pour un petit besoin urgent. Là encore nous avons été remarqués mais discrètement en tant que clients plus ou moins réguliers. A Beaubourg il y avait un monde pas possible sur l'esplanade, des baladins faisaient un spectacle qui se voulait comique mais n'ayant pas vu le début.. flop, de notre part. En même temps, à l'autre bout de l'esplanade, des religieuses et des fidèles (un petit groupe) essayait vainement d'attirer l'attention du public sur le lundi saint, avec tambourin, chef de chorale ? en chantant "Jésus est entré dans ma vie..." A noter que ces personnes étaient de couleur et parmis elles des tamouls non que nous en ayons été génés, mais plutôt étonnés. Eglise Adventiste ou autre congrégation ? toujours est-il qu'elles étaient courageuses avec le tintamare que les autres faisaient...

Nous sommes revenus, toujours à pied boulevard Saint Germain où nous avons pris un pot à la Rhumerie, le fief de babouchka et de ses parents depuis 1947. Retour en autobus chez S...pour une soirée pyjama. Et si j'augure de ses dispositions je subodore que les pyjamas ne resteront pas longtemps sur nous..

 

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28 mars 2010

Le nouveau visage du hassidisme

27 mars 2010

Salon du livre

Salon_du_Livre_2010Il se tient à Paris, Porte de Versailles. Mais contrairement à l'année passée, je n'expose pas, la location du stand me revient trop cher pour les bénéfices que cela me rapportent. Je ne suis pas de taille à lutter à concurrence égale avec les grands éditeurs et les grandes enseignes. J'irais donc avec S...en tant que simple spectateur, voire acheteur, si je rencontre un confrère qui propose à la lecture le livre d'un nouvel auteur avec un réel talent et non un écorché vif, persuadé que seul un érudit est capable de comprendre son oeuvre, bref un insupportable poseur comme il y en a tant dans cette profession.

S... m'a tenu compagnie à la boutique toute la journée. Si bien qu'elle a passé très vite. Le matin c'est plutôt calme jusque 11h puis comme au restaurant c'est le coup de feu jusque 13h, tranquille jusque 16H et c'est reparti. Mais je ne me plains pas, ma clientèle est composée de gens agréables avec qui j'ai plaisir à discuter. Certains viennent avec un titre bien défini, parce qu'ils en ont entendu parlé, mais la plupart viennent fureter, s'enquérir régulièrement des nouveautées, demander des conseils, commander des ouvrages particuliers ou des livres peu demandés que je n'ai plus en rayons.

Pour les habitués, je prends le thé et/ou le café avec certains ce qui me permets de les fidéliser encore un peu plus, d'entretenir des liens avec pour points communs nos lectures. Je dois avouer que j'ai hésité pendant un moment à supprimer ou non mes petites tables au profit d'agrandir la visibilité de mes rayonnages et ma foi je ne regrette pas d'y avoir renoncé. Les gens viennent chez moi pour les livres d'accord mais également pour mon salon de thé. Non qu'il soit grand mais il est bien arrangé (hum, ne soyons pas modeste) grâce en partie à S... Ca leur permet de lier connaissance, de rompre leur solitude, autour d'un café et d'un livre, sans pour autant passer pour des dragueurs ou des importuns.  Merci à la Grande-Bretagne pour m'avoir soufflé cette idée de Librairie Coffee Shop..

27 mars 2010

Il est rentré !

staiancoradormendoamore_blogRoudoudou, mon amour, ma petite caille indienne est rentré de tournée jeudi dans la soirée, complètement flappi, les pieds en sang mais un gros chèque dans la poche qu'il s'est empressé de me montrer. Cet argent il l'a amplement mérité, gagné grâce à son professionnalisme et surtout la vigueur de ses jambes.

J'avais commandé un super repas chez "Pouchkine" mais il a eu peu de succès. Il avait un sérieux besoin de se reposer. Je l'ai aidé à se coucher et il s'est endormi aussitôt une fois entré dans les toiles, sa minette à ses côtés. A l'aube j'ai été réveillé par des miaulements impatients et j'ai vu mon amour revenir dans notre chambre les yeux encore ensommeillés après avoir nourri son petit monstre à quatre pattes. Il m'a fait pitié, il dormait littéralement debout. Mais surprise, lorsqu'il s'est recouché je me suis aperçu que toute une partie de son corps était, elle, bien animée et ne demandait qu'à s'exprimer. Nous nous sommes donc réveillés mutuellement en douceur, avant de profiter l'un de l'autre.

Notre désir était puissant car contenu depuis plus d'une semaine. Nous avons comme à chacun de ses départs et chacun de ses retours fait l'amour intensément. Je ne me lasse pas, il semble que lui non plus. Nous découvrons une nouvelle sensualité, nous éprouvons de nouvelles sensations. Je me repais de chaque geste, de chaque repli de peau, de sa chaleur et de son odeur. Sa douceur dans l'intimité est telle qu'il m'arrive d'avoir peur de le blesser, tant physiquement que moralement par mes ardeurs.

J'ai réussi à le faire s'oublier au point de lâcher un cri au moment de notre jouissance. Et surtout à lui faire oublier la honte qu'il pourrait en éprouver. Hum oui, il n'est pas encore tout à fait décoincé

20 mars 2010

Triste week end qui s'annonce !

Mon amour est à Lyon depuis mardi dernier. Il devait rentrer ce soir ou demain dans la journée, mais du fait de leur succès, les exhibitions sont prolongées jusqu'à jeudi prochain. Bien qu'heureux pour lui que tout se passe bien, je suis déçu (en bon égoîste, que je suis) en un premier temps d'avoir du fêter presque seul (malgré babouchka toujours fidèle au poste) mon anniversaire, idem en ce qui concerne ce week end et toute une partie de la semaine prochaine. Mais je n'ai rien à dire, il ne m'avait rien caché de ses obligations lorsque nous nous sommes rencontrés. Donc, faisons bon gré malgré... En l'occurrence et au fur et à mesure que le temps passe, plutôt malgré !

Pour éviter de trop ruminer, je vais sortir ce soir et renouer avec mes bonnes habitudes de pd. Cela fait un moment que je ne suis pas allé à la "Boîte à Frissons", peut être aurais-je la chance de croiser quelques têtes connues qui me distrairont de cette solitude qui m'envahit. Depuis que S... et moi sommes amis. Je n'éprouve plus que rarement le besoin de sortir seul dans de tels lieux. La drague ne m'intéresse plus, mais il est vrai que je n'en ai jamais été féru. Sans doute parce que je savais que ces aventures ne menaient à rien sinon à satisfaire mon égo, que ce soit en tant que dragueur ou dragué. Ce qui ne change guère en revanche, c'est ma libido, qui s'est simplement concentrée sur S... me rendant insupportable l'idée que d'autres puissent ressentir de tels désirs vis à vis de lui ! hum m'a jalousie aussi s'est exacerbée me rendant suspicieux, alors que manifestement je n'ai aucune raison de douter de lui... Jalousie quand tu nous tiens ! 

20 mars 2010

Anniversaire

plaque_30_ansle 18 mars ! J'avais mis mon réveil 1h et demi plus tôt que d'habitude, de peur de rater le départ de mon amour pour Lyon. Il avait déjà bu son café et préparé mon petit déjeuner. Sur le canapé du salon, trônait en évidence, le tableau de moi qu'il avait fait. Un portrait en pied, traité de façon moderne en peintures acryliques. Un mot était glissé dans l'encadrement, mais comme il préférait que je le lise hors sa présence. J'ai malgré mon impatience accédé à son souhait. Non seulement il a dû mettre un temps fou pour faire cette toile et ce, en raison de ses répétitions, représentations et obligations de toutes sortes. Mais il a réussi à garder le secret, C'est ainsi que je comprends le pourquoi : "...il vaut mieux que je dorme chez moi, je rentre trop tard le soir..." En regardant ce portrait,  j'y décèle tout ce que j'essaye de cacher et que lui a réussi à saisir. Mais quand ? comment ?

Mon amour qui avait appelé un taxi a refusé que je l'accompagne à la gare. Il est vrai que j'ai de plus en plus de mal à dissimuler mes émotions, mes recommandations et mes effusions. Ce qui je le reconnais peut être embarrassant pour lui. Quant à moi, je me fiche royalement de ce que les autres pensent, j'assume notre couple et surtout ce que je suis.

Nos embrassades se sont donc terminées à l'embrasure de notre porte. Et c'est le coeur serré que j'ai vu de ma fenêtre s'éloigner son taxi. J'ai heureusement été occupé toute la journée par des clients, commandes, livraisons, etc... ce qui m'a évité de "penser". Des connaissances et amis ne m'ont pas oublié et après mon diner chez babouchka, nous sommes allés finir la soirée à la "Calèche".

Je fais maintenant partie des gays d'âge mur.

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