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zdraztvitié

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14 mars 2010

Pauvre Shivanna !

Mon amour a découvert non seulement qu'il pouvait faire des films vidéos avec son appareil photos numérique mais qu'il pouvait aussi les mettre en ligne sur son ordinateur. Il a compris comment faire ses réglages. Hum il était temps, mais ne soyons pas mauvaise langue ce n'était pas évident pour lui et encore moins pour moi qui n'y entend rien. Toujours est-il que lui qui ne se séparait pas de son appareil, le trainant partout ou il allait et tous les jours (même lorsqu'il va travailler),  là c'est de la folie furieuse.

Depuis vendredi, il l'a à la main et bien évidemment son modèle favori, volontaire et désigné d'office, c'est sa minette. Et il n'est pas prêt de la laisser tranquille. Pauvre Shivanna ! Elle qui ne demande qu'à vivre sa petite vie pépère de chat d'appartement, faisant de l'exercice en tournant autour des pieds des meubles, se goinfrant à heures fixes, se lêchant et se pourlèchant pour la toilette pendant des heures, avant de piquer du museau dans le moëlleux de nos oreillers ou dans son panier. Quand S... est là, elle n'a plus un moment de paix. Inconscient, il la poursuit, la traque dans tous les coins et recoins de l'appartement et/ou du magasin, l'appareil en mains. L'obligeant à "jouer" son rôle de chat espiègle en l'asticotant avec sa ceinture de robe de chambre ou un bout de ficelle, ce qui est bien plus drôle sur une vidéo.

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14 mars 2010

Week end de folie

FreudTout avait bien commencé. Vendredi soir, je suis allé chercher mon chéri à son centre de danse. Nous sommes allés visiter l'exposition Lucian Freud au Centre Beaubourg. Peintre du XXème siècle,  qui a connu le succès assez tard et dont nous ne connaissions pas les oeuvres. Ces tableaux sont d'une réalité saisissante. On s'attend à tout moment voir le modèle quitter la toile. Et pour certaines scènes nous faisons preuve d'un réel voyeurisme en pénétrant dans l'intimité de ses corps dévoilés,tellement ils sont criants de vérité.

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Je m'étais toujours demandé pourquoi les artistes aimaient peindre les personnes "enveloppées", et un ami espagnol m'avait répondu que c'était parce qu'il y avait beaucoup de travail à faire, pour faire vivre sans vulgarité, ni obscènités ces amas de chair, et je crois avoir compris pourquoi en voyant cette exposition.

12882_img_0556000Après quoi, nous sommes allés diner au Gai Moulin toujours dans le Marais, restaurant sympathique. Au mur, des toiles peintes, banquette de velours rouge, cuisine soignée - si vous aimez diner au calme, ne venez pas trop tard - Pour terminer notre soirée dans une boîte de nuit. Là ça c'est gâté, il y avait beaucoup de monde, normal un vendredi soir. Ce qui l'était moins c'est l'excuse de la foule pour que des mains baladeuses nous tripotent le cul. Mon chéri en a fait les frais ; ça c'est un peu calmé quand j'ai dit à qui voulait l'entendre qu'il était avec moi. Résultat c'est moi qui me suis fait peloter et impossible de savoir à qui appartenait les mains. Oui, je sais les boites gays sont un peu spécialistes, mais quand même. J'étais tellement furieux que je me suis retourné d'un coup et j'ai attrapé, d'un air mauvais, les attributs du type que je croyais coupable pour lui faire passer l'envie de recommencer. Non mais, j'ai pas gardé les cochons avec ! Nous sommes rentrés chez S... son appartement était plus près de l'endroit ou nous étions que le mien. Et j'ai eu droit à un délicieux calin dont j'aurais voulu qu'il ne finisse pas mais bon...

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Samedi, je travaillais donc... je suis parti en le laissant vacquer à ses occupations. Le soir, affolement et branle-bas de combat. Pas de S... à la boutique, ni à l'appartement. En fait, Môssieur était sorti en laissant les clés à l'intérieur de l'appartement et évidemment, ne pouvait plus rentrer y compris dans l'immeuble puisque là aussi il faut une clé magnétique, et qu'il ne se rappelait plus du code qui avait changé au 15 février. Je passe les détails de l'ouverture de la porte blindée, mais ça a été folklo. Le serrurier devait finir le travail de remise en état de sa porte dimanche matin. Bernique. Il devait venir à 11h, ne voyant personne à 12h45, S...l'appelle, il venait de se réveiller. Devait venir pour 13h30 puis pour 16 h et enfin à 18h30 il appelle pour dire qu'en fin de compte le dépannage chez le client à pris plus de temps que prévu, il ne viendra que lundi soir mais qu'il fera les finitions gratuitement, mouais on verra ! S... va être contrarié de voir que nous avons été bloqués pour rien, lui le matin et moi l'après-midi. Du coup nous n'avons pas été voté puisque qu'on ne savait pas à quelle heure il allait passer.

Lundi S... travaille moi, non donc rebelote et là il a intérêt à venir, sinon je vais lui faire un esclandre dans sa boutique. C'est pas sérieux. Si je faisais pareil avec mes clients, il y a longtemps que j'aurais mis les clés sous la porte.

 

 

 

 

11 mars 2010

יום נעים לכולכם

9 mars 2010

La pintade et les chapons, le retour !

42821408_pDans l'après-midi, s'est rappelé à moi le souvenir déplaisant de la pintade et de son chapon, en raison d'un camion Scania qui s'est garé dans ma rue, devant mon magasin. Ben voyons pourquoi pas ? N'oublions pas "Scania la Rolls Royce des camions".  - Faut dire qu'elle avait raison, c'est vrai qu'il était beau ce camion - C'est pas moi qui le dit mais notre pintade favorite de chez Scania en couple avec le chapon-pintade (plus chapon que pintade ou l'inverse ?)

On peut se  le demander à voir sa tête (qui entre-nous ferait avorter une couvée de singes). A elle seule, elle regroupe toute une ménagerie. Imaginez une tête de fille allongée, un peu chevaline en raison d'une dentition qui se découvre largement lorsqu'elle sourit. Des cheveux filasses, peu abondants et couleur queue de vache, coupés court évidemment pour donner l'air plus masculin (désolé ma poule, mais c'est pas tout à fait ça). Portant une chemise à carreaux (la butch en goguette) et pour couronner le  tout une bite en plastique (j'ai horreur de ce mot que je trouve particulièrement obscène mais elles parlent ainsi, donc, je m'adapte !) dans son jean pour se donner l'illusion et faire croire, à qui le veux bien, qu'elle est née avec des attributs masculins naturels.

Hum, d'accord, je ne suis pas tendre avec elles, mais n'ai aucune raison de l'être ayant été assaillis (mon compagnon et moi) de mails d'insultes, orduriers (que du reste, notre avocat nous a dit de garder en cas de procès et qui serviront de preuves). D'appels téléphoniques : 2 sur le fixe de mon ami... et 3 ou 4 sur le portable au point que nous avons été obligés de faire une main courante pour harcèlement et changer nos numéros. Pratique quand ça fait plus de 10 ans qu'on a le même et dans nos métiers. Bref... Tout ça parce que ces donzelles ont pris la mouche de ne pas avoir été invitées à une exposition de peinture que S.. faisait et par notre refus (surtout après des mails d'insultes) de les fréquenter et de les introduire dans notre cercle de relations. Les gens intrusifs et mal embouchés, très peu pour nous.

Vu leur mentalité, que nous ne connaissions pas, et qui s'est dévoilée bien à propos, nous n'avons pu que nous en féliciter. Nous avons eu le tort de faire confiance et de donner nos noms et n° de téléphone à des personnes que nous croyions honorables. Bon maintenant que mon coup de gueule est passé, je m'empresse d'oublier cette pintade et son faux mec et les laisse volontiers retourner gratter le tas de fumier dont elles sont issues.

Flash_Info_Preparation_des_volailles_pour_le_traditionnel_concours_des_chapons_de_Bresse_l_OL_revient_avec_un_nul_de_Monaco_largeQuand je pense que cette grogniasse de 46 balais avait l'illusion que je pouvais être amoureux de sa pintade. Non mais, faut pas rêver. Moi qui n'ai jamais aimé les moules, et encore moins leur, odeur, et qui du reste ne m'en suis jamais caché. (une partie de leur agressivité venait peut-être de là, l'autre résultant de diverses frustrations ?) Quant à lui/elle n'a rien de ce qui pourrait m'attirer. J'aime les mecs, les vrais, avec ce qu'il faut dans le pantalon et non des substituts. J'aime sentir la chair fraiche contre moi et non la carne. Paraît que c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure soupe. Possible mais je n'ai pas envie de goûter aux moules, surtout lorsqu'elles affichent un âge avancée. Ce qui a trop servi a le goût rance.

Ce qui nous préservé dans notre vie professionnelle (parce qu'elles étaient du genre gluant) c'est que je n'ai jamais dit la totalité de mon nom de famille qui est composé par les noms de mon père et de ma mère et  que mon magasin a été créé sous un seul nom dont la terminaison a été modifiée, selon la tradition Russe, lors du changement de mes papiers d'identité. Quant à mon ami, il n'a jamais dévoilé le nom de la compagnie où il travaille et il a toujours nié qu'il y ait un site web. Ouf, on l'a échappé belle. Mais ça nous a servi de leçon. Maintenant on fait comme les copains pseudo, et re-pseudo.

5 mars 2010

Notre couple (photo téléchargée sur le web)

mariage_gayNotre couple va de mieux en mieux,  non qu’il allait mal, mais pour diverses raisons nous avions du mal  à nous considérer comme un couple homosexuel et surtout à accepter d’être vu comme tel et ce, pour diverses raisons.

Mon amour se libère petit à petit mais sûrement de la rigidité de son éducation. Et ne « tourne » plus son nez lorsque je veux lui présenter  « mes amis », de même qu’il me présente « les siens ». C’est toujours difficile de rencontrer des personnes qui ne connaissent pas l’homosexualité de S…, tellement il  est discret sur sa vie privée, et de leur faire comprendre que nous sommes amis. Mais je ne sais comment il se débrouille, car si nous avons parfois des regards étonnés, ils ne sont jamais agressifs ou moqueurs. Sa discrétion dans sa manière d’être impose le respect. Tant mieux pour nous. Ce n’est déjà pas facile d’être d’origine et de religions différentes, si en plus on devait faire face à un rejet provoqué par une homophobie caractérisée…

Donc depuis notre retour d’Ukraine, nous nous affirmons en tant qu’homosexuels et en tant que couple gay. Nous avons toujours nos soucis d’appartements  qui font que nous n’habitons pas toujours ensemble, mais S… semble décidé à vendre le sien. On verra bien, je ne veux rien lui imposer, ça doit venir de lui-même, dès qu’il aura fait le deuil de sa mère et de ses souvenirs d’enfant et d’adolescent. Nous fréquentons maintenant presque exclusivement les bars, restaurants et magasins gays.  Je me suis réconcilié avec le quartier du Marais et nous y trainons nos guêtres toutes les semaines. Il est vrai que nous apprécions pouvoir nous tenir la main, voire discrètement nous embrasser (hum oui, ça nous est arrivés), choisir ensemble dans une boutique  sans avoir le regard étonné ou inquisiteur d’une vendeuse. Les gens de ce quartier sont tellement habitués qu’ils n’y font même plus attention.  Nous nous sentons libres de faire toutes ces petites choses de la vie qui vous permettent de croire que vous êtes un couple normal.

Nous avons laissé nos marques un peu partout, et sommes reconnus chaque fois que nous entrons à droite et/ou à gauche même si cela fait un moment que nous ne sommes pas venus. Certaines personnes que nous ne connaissons pas et que nous rencontrons dans les cafés et/ou restaurants ou nous entrons nous saluent comme des connaissances.  On nous a même dit que nous formions un couple charmant, si si !  Nous  en avons été un peu gênés mais,  Il est vrai que nous sommes fiers de nous montrer ensemble  - nous ou notre amour ?

Chez nous (chez lui ou chez moi) c’est pareil, S…devient plus libre. Il n’a plus peur d’être catalogué comme « efféminé » s’il s’occupe des tâches ménagères en l’occurrence la cuisine et le ménage.  Comme tous les indiens il aime les bijoux. Il en a d’ailleurs de très beaux, qui viennent tous de son pays, et qu’il ne portait jamais ou peut être lors de cérémonies indiennes.  Depuis quelques temps,  il porte la chevalière de son père, une chaine et une médaille religieuse autour du cou, un bracelet. Bien entendu je lui ai fait remarquer en lui disant que j’aimais et que ça lui allait très bien. Décomplexé, il les porte à présent tous les jours.  Ce sont bien évidemment des petits rien, mais qui contribuent à l’épanouissement de notre couple.

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2 mars 2010

Kiss-in Parvis de notre dame le 14/02/2010

Je viens de lire le compte rendu de têtu ainsi que les divers témoignages sur les violences verbales et physiques dont on fait l'objet les participants. Je suis attéré devant les diverses vidéos qui ont été faites de ce jour.

 

Il va s’en dire que je condamne, toute forme de violence, qu’aucun comportement incongru soit-il n’excuse un tel déchainement. Il faut toutefois reconnaître que cette initiative, même si elle partait d'une bonne intention,  ne pouvait qu’être prise pour une provocation et une profanation d’un lieu saint.

 

Nous réclamons l’intégration, l’acceptation, le respect, la liberté, les mêmes droits que les hétérosexuels mais nous, les respectons-nous, comme nous le devrions ??? La question est posée,car pour se prêter à ce que j’appelle moi, de l'exhibitionnisme, il ne faut pas avoir réfléchi aux conséquences. Que croyaient-ils ? que tout le monde allait abonder dans leur sens, leur dire c’est super, continuez, et leur accorder une bénédiction ?

 

Je suis pour défendre nos droits, mais pas de cette façon, nous n’avons réussi qu’à choquer et à blesser au plus profond d'elle-même une bonne partie de la population.  Certains diront que c’est un moyen de faire bouger les choses, possible, mais pour en arriver à ce résultat où en est le bénéfice ? Et pour qui ? Les participants se sont faits insultés, tabassés, et à travers ce déferlement de haine, car il s'agissait bien de cela et non d’un simple coup de colère, est ressorti le dégoût profond - où plutôt celui de nos mœurs - que nous inspirons à  des personnes ayant un code de conduite morale et religieuse strict.

 

 

 

Nous qui crions à l’homophobie dès qu’un mot, une phrase, voire un regard  porte à suspicion, que serait notre réaction si des intégristes et peu importe leur confession se présentaient  avec des signes distinctifs de leur opinion, devant le centre lgbt ? Nous prendrions cette manifestation comme une provocation et serions les premiers à monter aux créneaux.

Les organisateurs de cette manifestation pacifique et somme toute sympathique, ont été plus que maladroits (Je leur accorde le bénéfice du doute) pour ne pas dire inconséquents.

28 février 2010

Vision idéalisée du shetetl en Russie entre deux pogroms !

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A travers ce film transparait bien les conditions de la femme et de l'homme dont les rôles dans cette société fermée ont été attribués par Dieu. L'homme et les garçons à la Maison d'Etudes, les femmes et les filles aux tâches ménagères.... 

24 février 2010

Mon amour

Nous sommes à genoux sur notre lit, nus, mon amour a les yeux baissé. Il me laisse le contempler, ses bras sont ballants à ses côtés. Il est beau, pudique après 2 ans et demi d’intimité.  Sa peau est couleur pain d’épices, ni trop foncée ni trop clair. Deux petits grains de café étirés perdus dans un duvet soyeux marquent l’emplacement des seins. Ses côtes sont un peu saillantes, le nombril légèrement ressorti fait penser à un bouton poussoir, que j’ai malgré moi, envie de presser.  Son ventre respire et se rétracte en rythme, à chaque effleurement de mes mains. Plus bas, la fesse haute, rebondie et ferme et, surmontée d’un léger gazon dont je refuse qu’il soit tondu, une branche fine mais solide, adorable de candeur, terminée par un bourgeon qui se laisse entrevoir.Les fruits ne semblent faire qu’un, mais après quelques frémissements de la branche reposant dessus, et l’apparition du bourgeon dont la timidité a été vaincue par les émotions de son propriétaire, les voilà qui gonflent et murissent pour  se montrer à deux. Bien accrochés à leur support, ils deviennent chauds, fermes et lourds.

Je le force à me regarder, il n’a pas de honte à avoir, nous sommes amis et  nos nudités nous appartiennent.  Il finit par relever les yeux et me regarder dans ce que j’ai, moi aussi, de plus intime, et de changer.  Ce qu’il voit lui plait à n’en pas douter et j’en  suis fier. Il m’a fallu tant d’années, de larmes et de souffrance,  pour l’acquérir.

Nous sommes si différents et si complémentaires. Je suis non pas coléreux, mais colérique. Il est d’un calme olympien. J’accorde ma confiance une fois, pas deux. Il est prêt à pardonner et à croire tout ce qu’on lui raconte si l’on y met les formes.  Je suis revanchard, il est je m’en foutiste.  Il est fin de traits et d’esprit, ce qui n’est pas toujours mon cas. Il est timide, réservé, et fait souvent preuve d’empathie.  Je suis un peu expansif, avec une furieuse tendance à foncer, peut importe ce qui se trouve devant et, je suis plus « dur ». Il est souple et docile. Il m’arrive d’être vindicatif et intransigeant. Bien que sociable, il n’aime pas les imprévus, et se trouver en société, et ce à contrario de son métier, ce qui m’oblige à souvent, trop souvent à mon goût jouer les intermédiaires. Mais c’est sans doute ce qui fait dire que les contraires s’attirent.

C’est en le regardant, dans toute sa nudité nue, que je m’aperçois de ce qu’il représente depuis qu’il est entré dans ma vie et de tout le chemin parcouru. Sans rien faire de particulier, il m’a fait changer au point que revenir en arrière me semblerait irrréel, douloureux… 

22 février 2010

Réveil difficile

point_12_le_point_virgule_261Hier soir nous sommes sortis avec Maud et Chloé, voir le spectacle d'Yvette Leglaire au Point Virgule. Bien que S... et moi l'ayions déjà vu, nous étions ravis de voir nos compagnes s'amuser comme des petites folles. Pour ceux qui ne connaissent pas, allez-y, Yvette Leglaire est Elle/IL, monologue et divagations sur scène. Si vous avez aimé Zouc, vous aimerez Yvette Leglaire.

 

Avant le spectacle, nous avions fait des emplettes à la librairie "Les mots à la Bouche" Les_mots___la_boucheet en sortant, nous avons pris un pot au Bar du Marais. Soirée très agréable. Nous avons raccompagné ces dames chez elles et sommes rentrés littéralement flappis. J'ai à peine eu le temps de préparer notre lit que  la minette de S... était déjà dessus et S... à l'intérieur m'attendant, si je puis dire de "pied ferme" et comme il semblait dans de bonnes dispositions pas question de le faire attendre ni de le décevoir. Autant dire que ce matin la cafetière est plus qu'indispensable pour me tenir éveillé. Mon amour, lui, dors encore, comme un bienheureux, du sommeil du juste. Comme il ne travaille pas aujourd'hui ni demain, nous aurons tout le temps de récupérer.

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17 février 2010

Si ça pouvait être vrai !

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