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25 février 2012

Le Fête de la République

Si vous vous rendez en Inde en janvier, et en particulier les 26 et 27, ne manquez surtout pas la Fête de la République. C'est une véritable merveille, une démonstration de la puissance militaire indienne bien évidemment, mais également une débauche de couleur, des uniformes reflétant l'empreinte de la domination britannique durant plusieurs siècles.

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Tous les ethnies indiennes semblaient représentées, tous les Etats, toutes les religions reconnaissables à leurs turbans et à la façon dont ils étaient drapés. Tous les Etats réunis pour ne former qu'une seule Inde, malgré les différences. Les indiens sont souvent en désaccord entre-eux (ethnies, castes, religions, intellectuels, bureaucrates, paysans) , mais ils ne font qu'un dès qu'une menace se profile à l'horizon. Ils savent mettre leurs différents de côté au profit de leur nation.

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Nous avons assisté à ce défilé lors d'un précédent voyage, et roudoudou était fier de me montrer la puissance de son pays, de me montrer que celui-ci était autre chose que ce que veulent bien nous en montrer les médias, ce que j'ai parfaitement compris. Je n'ai du reste pas été avare de questions, voulant lui montrer ainsi, que je l'aimais lui, son peuple et sa nation.

Les régiments ayant le plus de succès et qui étaient très attendus, sont ceux de l'aviation seul corps d'armée où les femmes sont représentées, et le régiment des cavaliers du désert perchés sur des chameaux somptueusement harnachés.  Malheureusement, bien que nous ayons été à l'affut depuis plus de 2 h avant le commencement des festivité, nous n'avons pu photographier tout ce que nous voulions y compris le régiment féminin la foule était trop compacte et les indiens très curieux de voir des femmes défiler en habits militaires.  

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13 février 2012

visiter Khajuraho

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Hormis l'esplanade des temples et l'ancien village, Khajuraho ne présente pas un grand intérêt. Aussi, ne sommes nous pas restés plus qu'il ne faut. Il reste ving neuf temples sur les quatre ving neuf à l'origine construits entre 950 et 1050 si j'ai bien tout compris. Mais alors qu'elle beauté, qu'elle finesse et qu'elle rafinement dans les sculptures.

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Ces temples sont considérés comme érotiques car ils mettent en scène sur toutes leurs façades les positions amoureuses du Kamasutra. A noter que ce que nous européens considérons comme érotiques voire pornographiques pour certains pudibons, ce sont simplement des actes intimes de la vie courante autorisés et pratiqués par les Dieux et les hommes indiens. Pour ma part, j'ai trouvé ces temples magnifiques, contrairement aux lois morales imposées par les divers occupants musulmans et chrétiens. Les gestes amoureux gravés dans la pierre sont magnifiques de pureté, criants de vérité et d'une liberté sexuelle telle qu'on n'oserait l'imaginer pour l'époque. Ce qui ne signie rien de la moralité de ce peuple qui malgré les figures sculptées sur ces temples est d'une grande pudeur et haute moralité.

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Roudoudou m'a dit que que dans des temps plus éloignés ces temples servaient à déniaiser les princes. Maintenant on y emmène les jeunes gens (les jeunes filles mises à part qui seront initiés par leur époux) histoire de leur expliquer les relations sexuelles avant un prochain mariage.

Pour avoir accès à cette esplanade il suffit de payer quelques roupies qui servent à l'entretien (et je le précise à la main) des temples et des jardins qu'il y a autour. Pour les indiens, le prix est moins élevé que pour nous occidentaux, ce que je trouve normal quant au taux de la roupie, toujours non coté en bourse.

P1080875En sortant de l'esplanade des temples, dirigez-vous vers la droite, le vieux village, les habitants n'ont pas l'habitude de voir des touristes, ceux-ci s'en retournant dès la visite finie. Munissez-vous d'un appareil photo à développement immédiat. En effet, si vous faites des photos des habitants, que vous le leur donnez de suite, vous aurez peut être la chance d'être invité à un mariage, une naissance ou à l'inauguration d'une nouvelle divinité que l'on amène au Temple domestique. Et là c'est le bonheur complet, car vous serez adopté, vous ne serez plus le quelconque touriste à qui l'on veut faire dépenser le maximum de fric dans un minimum de temps, mais un ami. Vous pourrez alors, si vous avez eu la précaution d'emmener un autre appareil plus courant, faire des photos inédites pour le commun des étrangers. Hum oui, si vous n'avez que votre appareil courant, vous pourrez toujours dire ... "on va vous envoyer la photo..." oui peut être.. Alors que si vous la leur donnez tout de suite, c'est l'extase. Peu de villageois en ont un, par ailleurs ils vont chez le photographe lors de leur mariage, la première naissance et c'est souvent tout. Alors faites leur plaisir vous en serez récompensé et remercié au-delà de vos espérances.

P1080871A l'entrée du village, il y a un temple domestiqué destiné aux dévotions pour Anuman le Dieu Singe. Ensuite, le faubourg des tombins éleveurs de porcs, vient celui des intouchables. Dans le village proprement dit, les quartiers sont séparés : les sundras (artisants et ouvriers agricoles de basses castes) ou l'on fait sécher sur les murs les galettes de bouses qui serviront à allumer les fours pour cuire la nourriture. le quartier des castes supérieures et des brahmanes. Deux points d'eau  une mare pour les impurs, une fontaine au coeur du village pour les autres.

Nous avons joué le jeu et sommes rentrés dans diverses "boutiques" pour notre plaisir et celui des habitants l'intérêt est que dans ces magasins villageois, nous sommes servis de façon traditionnelle. Tout d'abord nous franchissons le sol en laissant nos chaussures à la porte (et ce malgré la gentillesse du commerçant nous invitant à les garder) recouvert d'un drap blanc. Le boutiquier est assis en tailleur sur une estrade drapée également de blanc et nous sommes assis sur des bancs (pour les plus âgés) et des coussins pour les plus jeunes. Derrière son dos, le boutiquier à des rayonnages ouverts ou toute la marchandise est susceptible d'être "attrapée" rien qu'en tendant les bras, s'en avoir à se baisser voire à se retourner puisqu'il bénéficie de l'aide efficace de vendeurs. Nous nous sommes faits montrer des saris pour nos amies Maud, Chloé et Florence. J'ai appris que chaque sari avait un nom et qu'il suffisait que roudoudou le prononce pour que, comme par miracle ceux-ci s'étalent dans un chatoyement de couleur devant nous.

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Pour retourner à notre hôtel nous avons pris, des vélos taxis.  ils se composent d'un char à banc à capote tiré par un vélo que monte un pauvre diable qui n'a que le muscle sous la peau. Chaque vélo taxi étant surmonté d'un numéro. Inutile de dire que pour les faire travailler, nous avons chacun pris un vélo et avons donne à l'arrivée le double du prix de la course. Non par pitié spécialement mais parce qu'ils le méritaient par leur gentillesse, leur envie d'aller vite croyant nous faire plaisir et surtout pour leur adresse à éviter les égouts à ciel ouverts. Les rues du village ne sont pas éclairées et la route menant à l'hôtel ne l'étant guère plus.

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12 février 2012

Difficulté d'être

P1080730Un pd, un fag, une tafiole, tous ces jolis qualificatifs dont nous sommes affublés quotidiennement et dont nous gratifient "ceux qui savent". Je comprends que pour roudoudou ce soit difficile à supporter et surtout à assumer dans son pays. Il n'empêche que je suis un peu aigri, par son attitude depuis que nous sommes en Inde. Il se refuse sous divers prétextes à me tenir la main. Au restaurant, nous parlons comme deux copains et non comme deux amis, deux amants, deux maris. Il s'enferme dans une réserve dont je n'ai pas l'accès. Je me demande pourquoi je suis venu avec lui, je me sens inutile, un paquet que l'on aurait amené là et qu'on aurait oublié. Je n'existe plus en tant qu'amant et mari dans la journée. Notre intimité ne revient qu'à la nuit, dans l'espace clos de notre chambre mais là encore, avant de pouvoir nous retrouver, nous nous devons de mettre en scène notre sommeil. Je défais le lit que nous n'occuperons pas, je m'y glisse aux fins de froisser les draps histoire de faire croire au personnel de l'hôtel que je voyage avec "un" copain, un banal copain. J'en suis malade de dépit. Je me dis que je comprends, mais en réalité j'ai du mal à accepter. Nous sommes un couple d'hommes, et alors ! nous sommes mariés religieusement, S... est mon mari et je l'aime peut m'importe ce que l'on peut penser de nous. Mais il faut croire, qu'il n'en est guère de même pour lui.

Quand va-t-il enfin assumer, s'assumer dans son propre pays mais également partout ou nous allons et nous nous trouvons en couple. Je voudrais lui en parler, mais j'ai peur de m'emporter, que mes remarques ne soient que ressentiments, rancoeurs d'une situation ou seule, la société et son ridicule ordre morale sont responsables. J'ai peur qu'en lui en parlant, notre couple en souffre de façon durable. Aussi, je ferme ma gueule, espérant plus de ce séjour plus que la banale visite des monuments de ce merveilleux et hermétique pays.

Roudoudou est sagement endormi à mon côté. S'il savait ce que ce j'écris, nul doute qu'il en serait blessé, mais le serait-il autant que je le suis. Il essaye de me faire oublier sa lâcheté (seigneur comme ce mot est dur et cruel) à mon égard en se donnant et en me faisant l'amour intensément. Mais une fois ces moments de passion partagés et passés, que reste-il ? Dès qe nous franchissons le seuil de notre chambre, son indifférence à mon égard reprend le dessus.

Je voudrais lui crier ma souffrance, mais la comprendra-t-il et surtout l'accepterait-il ? et si oui, cela pourrait-il provoquer un déclic chez lui ?

10 février 2012

Visiter Delhi

Delhi

Avec Bombay c’est peut être une des villes indiennes les plus européanisées, mais curieusement, une fois sur place on ne peut s‘empêcher de douter et de faire malgré soi une comparaison.

Premier dépaysement lorsque qu’on arrive d’Europe. L’aéroport ou se croisent et s’entrecroisent des millions de passagers de toutes sortes, trainant bambins, vieillards et paquets plus ou moins bien ficelés. L’aéroport ou personne ne peut vous attendre à l’intérieur des murs. Et ou on ne peut les franchir que ce soit en sortie ou en entrée, sans passeport ni billets.

Ce qui étonne, c’est le stoïcisme de la foule, sa réserve dans ses faits et gestes, son silence. Ici pas de cris, d’interpellations, de mouvements brusques, ni de soupirs impatients. Les indiens sont réservés, mesurés. Ils sont souvent en famille et parlent discrètement. Les seuls qui se font remarquer par leur exubérance, leurs gesticulations, leur voix haut perchée et leur précipitation, ce sont les touristes. En Inde, le temps ne compte pas. Un avion devait arriver à 5 h du matin et il n’est toujours pas là à 19h, ce n’est pas grave, on s’accroupit sur les talons et on attend. C’est une des choses, parmi de nombreuses autres, qui ne laisse pas de  m’impressionner.

Bref à la sortie de l’aéroport de grosses voitures familiales privées, genre minibus, attendent les familles. Les intouchables vêtus de l’uniforme bleu de chauffe ou kaki un balai de crin sans manche à la main s’évertue à rendre propre les abords de l’aéroport.

Roudoudou et moi prenons un taxi qui nous emmène directement à l’hôtel Siddarth situé dans le Nouveau Delhi. C’est celui ou il descendait avec ses parents, et donc celui que nous nous devons de prendre et prenons depuis 3 ans. Le personnel y est aimable sans être mielleux et nous bénéficions du savoir vivre indien qui veut qu‘on offre des paniers de fruits et des confiseries à tous les clients, à l’entrée et au départ de la chambre. De retour de nos pérégrinations à l‘intérieur du pays et avant de repartir sur Chennai, nous séjournons à l’hôtel Ashoka, par habitude, qui est un ancien hôtel coloniale britannique. Très confortable, discret avec une population indienne et européenne réservée. Tout ce dont nous avons besoin. Nous n’aimons ni l’un ni l’autre, le bruit et le « clinquant ».  Culture et pudeur indienne oblige, bien que nous prenions une chambre commune, celle-ci comporte 2 lits (des grands) et le matin, nous défaisons et froissons les draps du lit resté inoccupé. Si S… n’avait pas été indien, je m’en serais moqué comme de ma première chemise mais là, je ne veux pas l’embarrasser, ni qu’il perde la face auprès de ses compatriotes.  Notre installation terminée, nous sommes partis en visite. Nous avons vu les principaux monuments de Delhi :

 Le tombeau d’Umayun :

P1080779  Les noms de martyrs ont été caligraphiés dans la pierre (pour précisions voir le blog de mon amour... je suis incapable de me rappeler tout ce qu'il m'a expliqué avec forces détails. Comme quoi il connaît bien son histoire (celle de son pays). 

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  Le Qutb minar :

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 La Jama Masjid qui est la grande mosquée de Delhi, en grès rouge et marbre blanc et noir au sol.

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  Le fort rouge :

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 Le temple Birla qui est un des plus grand temple Hindou de Delhi

P1060343Après autorisation et demande faite par mon amour, nous avons eu l'autorisation de photographier l'autel de la déesse Durga. Va s'en dire qu'une obole a été offerte à la divinité via le dévôt.  

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dont la pierre est peinte en jaune, rouge et blanc pour un temple du nord c'est assez rare, ce sont plutôt les temples de l'inde du sud avec toutes les déités représentées qui sont peintes de toutes les couleurs. Nous y avons du reste croisé d'adorables fidèles...

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Ainsi que l’hôpital des oiseaux, qui de par sa couleur (rouge) et son architecture en forme de lingam est très curieux et particulièrement typique de la culture hindoue.

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J’avais déjà eu l’occasion de voir certains de monuments lors de nos précédents voyages (c’est mon 3ème), aussi me suis-je plus particulièrement intéressé à ce qui se passe autour de moi, la vie de ce qu’on appellerait « les petites gens », les pas de portes faisant offices de boutiques, les maisons du Vieux Delhi entourant la Jama Masjid :P1080825

 Les branchements électriques « sauvages », tout en m’étonnant qu’il n’y ait pas plus d’accidents et/ou d’incendie. Ceci expliquant cela je ne m’étonne plus guère des coupures d’électricité qui sont fréquentes dans toute l’Inde.

 A noter également que tous les temples, mosquées et monuments divers sont situés dans de grands jardins dont l’herbe très bien entretenue est coupée à la serpe par des jeunes filles ou, jeunes femmes de basses castes. Exit les tondeuses. Il y a très peu de « machines » en Inde afin de ne pas léser d’emplois la grande majorité de la population.

 P1080785 P1080781

J’avais énormément d’interrogations et j’ai toujours autant de questions à poser à S…. Toutefois, je n’ose pas toujours les formuler en raison de la susceptibilité, de la loyauté de mon compagnon vis-à-vis de son pays. Aussi certaines sont-elles restées au bord de mes lèvres en attendant le moment propice d‘être posées.

Mon compagnon est très sensible et surtout très fier. Il aime son pays et ne supporte pas que les médias ne montrent de l’Inde que le mauvais côté, à savoir ce qu’ils ont envie de vous faire voir pour vous apitoyer et susciter des dons : telle la misère, non, pas celle qui est bien propre et bien nette, mais celle qui est faite de crasse, de croûtes et qui dégoute ; ou à l’opposé, l’étalage de richesses que font certains parvenus. Il dit que pour les médias, il n’y a en Inde que des miséreux ou des richissimes maharajah sans bien savoir  ce qu’il en est réellement.

Je comprends le chagrin de S… et sa honte, mais il est vrai que lorsqu’on débarque pour la première fois en Inde, les injustices et la misère criantes vous sautent aux yeux, au point que vous ne voyez plus qu’elles. Ce n’est qu’au bout de plusieurs voyages que vous arrivez à en détacher vos yeux et êtes disponible à vous absorber dans d’autres choses. Quoi que en France avec le chômage et les sdf….Nous n’avons aucune leçon à donner.

Contrairement à ce qui s’est passé lors de mes précédents voyages  je me suis montré un peu plus réactif  dans mes déplacements, à savoir que j’ai suivi roudoudou sans qu’il ait eu besoin de me le signifier ou mieux me tirer par la manche pour m'éviter d'être renversé. Ah oui, il faut savoir que dans toutes les villes en Inde, au Pakistan, au Sril-Lanka, les automobilistes ont l'obligation de claxonner pour signaler leur venue. Hum c'est vous dire la dangerosité des rues et que dire des carrefours...

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 Nous avons pris le métro qui du temps ou il était enfant n’existait pas encore (la Russie se proposait de le construire gratuitement en échange de ….. Le Gouvernement Indien a refusé) De fait, je ne sais ce qui a permis l’aboutissement de ce projet. Le métro est une bonne chose, car la circulation d’après mon compagnon était infernale et, c’est peut dire, imaginez 18 millions de personnes, des voitures, des animaux, des touc touc, des motos, des vélos, des bus circulant à la surface : l’enfer.

MME__D~1

Malgré le fait qu’il rapproche de très grandes distances, reste que le coût du billet est élevé pour le commun des indiens et s’adresse plutôt à la classe moyenne et au-dessus ; celui-ci correspondant à une journée de travail d’un dalith et/ou d‘une basse caste. Le métro reste une curiosité, à voir, les couloirs sont en marbre et les quais rutilent de propreté, avec surveillant à chaque bout. Une amende étant prévue pour les indélicats qui se laisseraient aller à cracher. Ce serait une bonne politique à adopter pour la France….

La Place Connaught à Delhi est idéal pour le shopping et particulièrement agréable, on y trouve un artisanat de choix et de qualité de tout de tout ce qui se fait de mieux en Inde, tissus, objets en bois de santal, pierres semi précieuses, marbre, bijoux en argent et en or 22 carats  (le travail de l’or et de l’argent en Inde est très travaillé). En Inde, les prix ne sont pas affichés. Ils sont variables et fonction du pays d’où vous venez (surtout avant l’euro) aussi est-il préférable de marchander (dans la limite du raisonnable). Dans les magasins d’Etat, les prix sont fixes et non discutables.

Si vous vous trouvez en Inde les 26 et 27 janvier vous pouvez assister à la répétition et à la fête de la République, qui est superbe, c’est une débauche d’uniforme indo-britannique et de turbans harmonieusement drapés. Gros succès pour la compagnie du Désert, dont les cavaliers armés chevauchent des dromadaires caparaçonnés de couleurs vives. On s’en prend plein les yeux et les oreilles, en cause les trombones, les tambours qui accompagnent ces valeureux guerriers.

Delhi est une ville mixte, c’est-à-dire à nombre plus ou moins équivalent d’hindous et de musulmans, sans compter les sikh, qui ont d’ailleurs un superbe temple en marbre blanc avec  piscine pour les ablutions et une immense cuisine pour offrir des repas aux fidèles.

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