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14 juin 2016

Shulem Lemmer with Shira choir singing Hamavdil

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14 juin 2016

״יוֹסֵף״ - מקהלת שירה, מונה, למר, ילד הפלא

״יוֹסֵף״ - מקהלת שירה, מונה, למר,

ילד הפלא ופריילך  

9 décembre 2015

Hanukkah - fête des lumières

Pour l'année 2011 - du 20 décembre au coucher du soleil au 28 décembre au coucher du soleil.

ihannukkahDepuis longtemps, hélas ! Jérusalem, la cité sainte, était au pouvoir des rois de Syrie, et le culte des dieux païens avait remplacé dans le Temple le culte de Jéhova. Mais un jour les Macchabées se lèvent enflammés de l'amour de leur Dieu et de leur patrie, exaspérés du joug de leurs vainqueurs. Ils arborent l'étendard de la liberté, se mettent à la tête d'une poignée d'hommes déterminés comme eux, battent leurs ennemis bien supérieurs en nombre et délivrent Jérusalem de la présence de l'étranger.

Juda Macchabée, après avoir fait renverser les autels où avaient sacrifié les gentils, fait reconstruire l'autel du vrai Dieu, y fait replacer les objets sacrés rebâtit le sanctuaire, purifie le temple, et allume les lampes dans les saints parvis, au son des instruments et du chant des Lévites. Cette fête, car c'en était une, appelée fête d'inauguration, en hébreu Hanouka, dura huit jours entiers, et il se fit un grand miracle : on n'avait retrouvé dans le temple qu'une seule et unique fiole d'huile sainte, et elle suffit pour alimenter le chandelier d'or pendant toute une semaine.

Telle est l'origine historique et religieuse de la fête des Hanukkah.

Pour commémorer ce "miracle", la coutûme veut que devant la fenêtre de chaque maison juive brûle les lumières de hanukkah. Une bougie est allumée sur la ménorah chaque soir que dure la fête par le plus jeune membre de la famille.

Git Hanukkah Hanukkah

15 septembre 2012

Vous avez dit Klezmer ?

imagesCA0MN4XMLa musique klezmer est celle que les baladins juifs ashkénazes colportaient de fête en fête, de shtetl en ghetto, dans toute l’Europe Centrale et Orientale depuis le Moyen Age jusqu’à l’aube du XXème siècle. Elle s’inspire aussi bien de chants profanes et de danses populaires que de la liturgie juive et des nigunim, ces mélodies simples et sans paroles par lesquelles les hassidim tentaient d’approcher Dieux dans une sorte d’extase communautaire.

Depuis le 16ème siècle, des paroles ont été ajoutées au répertoire klezmer instrumental, grâce au «badkhn» maître de cérémonie lors des mariages, puis au théâtre yiddish.

Le répertoire klezmer et yiddish invite le public à la danse et permet aux musiciens d’exprimer toutes les émotions humaines de la joie au désespoir, de la piété à la révolte et du recueillement à l’ivresse, sans oublier l’humour juif et l’amour. Par contre, il n’existe pas de répertoire klezmer traditionnel spécifique aux funérailles.

La musique klezmer interprétée par ces musiciens juifs itinérants est par essence, et souvent, une musique de fête, de rencontres et de contrastes. Ils diffusaient leur musique et les récits de leurs voyages à chacune de leurs étapes. Souvent amenés à quitter leur Shtetl (villages d’Europe Centrale peuplés essentiellement par les juifs, car dans bon nombre de pays, ces derniers n’avaient pas le droit de résider dans le grandes villes, ni d’exercer certaines professions dites «nobles» ou posséder de la terre), et à jouer lors de mariages et fêtes juives . L‘arrivée des klezmorim étaient très appréciés des villageois, non seulement pour la musique, la fête et la joie qu’ils apportaient, mais aussi pour le recueil d’informations venues d’ailleurs. Vivier de la culture yiddish, ces villages et/ou bourgades juives ont constitué le berceau de la musique klezmer.

Au contact (réciproque) de musiciens slaves, tsiganes, grecs, turcs (ottoman) et bien plus tard du jazz, le klezmer a acquis une une diversité et une sonorité caractéristique instantanément reconnue. Cette vitalité réside dans le simple fait qu’elle a su sauvegarder son essence toute en s’enrichissant des cultures environnantes.

Dès la fin du XIXème siècles et le début du XXème siècle, un certain nombre de klezmorim réussissent à fuir les pogroms, la montée du fascisme hitlérien, ainsi que le régime stalinien en prenant la route vers l’ouest. Une grande partie de ces musiciens traverse l’Atlantique pour s’installer en Amérique. Seule une infime partie survivra au choc de la seconde guerre mondiale en restant sur le vieux continent.

Dans la culture yiddish, la musique klezmer est très proche du langage parlé. Son expression instrumentale se doit d’être flexible, instinctif et proche de la voix humaine. Le terme klezmer provient des mots hébreux : kley (véhicule-instrument) et zemer (chant-mélodie)

 

A zikh derman zikh

In mayn kinderyorn

Punkt vi a Kholem

Zet dos mir oys

Vi zet oys dos shtibele

Vos ikh hob farflantzl ?

Oy, oy, oy Belz mayn shtetele Belz

Mayn heymele, dort vikh hob

Mayn Kingershe yorn farbrakht

Belz mayn shtetele Belz

Mayn heymele, dor vu ikh hob

Mayne Kingershe yorn farbrakht

Oy, yedn Shabes fleg ikh loyfn

Mit ale yinglekh glaykh

Zitsn unter di grinike beymelekh

Vaefn shteyndelekh in taykh

Oy oy oy Belz mayn shtetele Belz

Mayn heymele dort vu ikh hob

Mayn Kingersheim yorn farbrkht

Dos shtibl is alt

Farvaksn mit groz

Der daskh tsefalt

Di fenster on gloz

Der ganik iz krum tseboygn di vent

Ikh volt dos shoyn mer garnit derkent

5 octobre 2011

Yom Hakippourim de l'an 5772 יום הכפורים

"Ketiva ve-hatima tova"

Yom_Hakippourim

Du 07/10/2011 au 08/10/2011 à la tombée la nuit, pensez-y !

Cette année, j'ai décidé que nous irons (Tzipora, roudoudou et moi) à la Schull avec des membres du Beit Haverim. Cela me permettra de vivre un moment fort de spiritualité tout en ne reniant pas mon homosexualité. Bien que ce ne soit pas sa religion S...s'intéressent aux rites et jusqu'ici, je ne peux que me louer de son attitude. Sa curiosité naturelle pour tout ce qui lui est étranger fait qu'avant de venir, il me pose moultes questions sur la signification, les usages et n'a jusqu'ici jamais commis d'impair et sa gentillesse fait qu'il a été accepté sans problème.

Bien évidemment hormis les personnes du Beit Haverim, les autres membres de la communauté ne savent ce que nous sommes. Je ne vois pas l'utilité, ni l'intérêt de choquer par des attitudes, des révélations et/ou des revendications déplacées. Chacun son époque et son monde le respect commence là !

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7 décembre 2010

Git Hanukkah same'hakh

hanoukia

14 mai 2010

Hassidic dance

28 mars 2010

Le nouveau visage du hassidisme

11 mars 2010

יום נעים לכולכם

28 septembre 2009

Git Yom Akkipourim

Ce soir j'ai accompagné babouchka à la schull. Bien qu'elle n'ai jamais pratiqué puisque ses parents l'ont fait baptiser à la Basilique Alexandre Nevski, il est des traditions qui perdurent quelques soient les persécutions et au travers des générations.

Nous avons assisté à l'office du matin et du soir, babouchka à l'étage avec les femmes et moi, au rez-de-chaussée avec les hommes. Pendant un moment je me suis demandé si je ne commettais pas un sacrilège puis, j'ai décidé que maintenant c'était comme ça et que si un Dieu existait il savait ce qu'il en était et ma foi étant intacte peut importe qui j'avais été. Ce qui comptais à l'heure actuelle c'était ce que j'étais devenu et ce que j'étais.

180px_FourspeciesEn passant la porte j'ai religieusement embrassé le bout de mes doigts pour les passer ensuite sur la mézouzah en spalmodiant la bénédiction d'usage. J'ai fait de même en mettant le châle de prières et les téphilines et lorsque la torah est passée je n'ai pu m'empêcher de tendre les franges de mon taleth pour la toucher et les baiser ensuite. Ces gestes sont venus tout naturellement comme si je n'avais jamais quitté la communauté, et bien qu'orthodoxe de père et de mère par conversion et n'étant plus rentré dans une synagogue ou une église et n'ayant plus prié depuis de nombreuses années, que ce soit dans une religion ou dans une autre toutes les prières et bénédictions me sont revenues, automatiquement, idem les mélopées et le balancement rituel. Les lettres de mon livre de prières semblaient me parler et danser devant mes yeux.

A un moment j'ai levé la tête et j'ai vu babouchka qui me regardait les larmes aux yeux. Cela m'a fait mal car je ne sais que trop bien pourquoi elles ont coulé et ce qu'elles signifient.

Je ne suis plus Zadznia et ça quoi qu'il en soit et quoi que je fasse, elle ne l'accepte que contrainte et forcée. Je suis A... fils de Tziporah et de Volodia. Je reconnais que pour elle ainsi que pour d'autres parents à qui ça arrive ce doit être un coup dur mais c'est ainsi. Pour que continuer nos bonnes relations, nous évitons d'en parler. C'est bien un des seuls sujet tabou dans notre famille.

 

 

 

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